Last Updated on 20/09/2006 by Ouestafnews
L’ouverture cette semaine à Abuja, capitale fédérale du Nigeria, de la 5ème édition de la Conférence internationale et stratégique des télécommunications, a été l’occasion pour le ministre nigérian des télécommunications Dr Femi Anibaba d’annoncer que les deux géants du téléphone cellulaire, Nokia et Motorola envisagent d’installer des unités de fabrication de téléphones portables dans son pays, selon des sources informées dans la capitale fédérale.
Motorola et Nokia répondent à un appel du gouvernement nigérian qui veut que le tissu industriel du pays bénéficie des retombées du boom des marchés.
Ces deux firmes trouveront sur le terrain une firme chinoise, ZTE, établie au Nigeria et qui y réalise déjà l’assemblage d’appareils de téléphones portables, et qui selon le quotidien nigérian This Day produit mille unités par jour.
Le géant de l’Afrique de l’ouest abriterait, selon le ministre cité par la presse de son pays, une ligne de téléphone cellullaire sur dix en Afrique, faisant du Nigeria le premier marché de la sous-région ouest africaine et l’un des marchés à plus forte croissance du continent.
Début septembre Nokia avait annoncé l’ouverture à Dakar au Sénégal d’un bureau sous-régional pour l’Afrique de l’ouest pour y "superviser" certaines de ses opérations et se rapprocher des clients et partenaires. Quelques mois auparavant, la même société avait aussi ouvert un bureau au Nigeria pour couvrir ce pays et quelques un de ses voisins.
Une récente étude de l’Union internationale des télécommunications a révélé que même dans les pays les plus démunis "des progrès considérables ont été réalisés dans la réduction de la fracture numérique".
Des progrès qui concernent 25 des 50 Pays les moins avancés (PMA) dont certains se trouvent dans la sous-région ouest africaine.
Selon l’UIT, le taux de croissance annuel du nombre d’abonnés aux téléphones cellulaires sur la période 2000-2005, dans les pays les moins avancés dépassent de très loin les 100 % dans plusieurs pays, dont le Niger (171%), le Libéria (155%) et le Mali (142%).
Motorola et Nokia répondent à un appel du gouvernement nigérian qui veut que le tissu industriel du pays bénéficie des retombées du boom des marchés.
Ces deux firmes trouveront sur le terrain une firme chinoise, ZTE, établie au Nigeria et qui y réalise déjà l’assemblage d’appareils de téléphones portables, et qui selon le quotidien nigérian This Day produit mille unités par jour.
Le géant de l’Afrique de l’ouest abriterait, selon le ministre cité par la presse de son pays, une ligne de téléphone cellullaire sur dix en Afrique, faisant du Nigeria le premier marché de la sous-région ouest africaine et l’un des marchés à plus forte croissance du continent.
Début septembre Nokia avait annoncé l’ouverture à Dakar au Sénégal d’un bureau sous-régional pour l’Afrique de l’ouest pour y "superviser" certaines de ses opérations et se rapprocher des clients et partenaires. Quelques mois auparavant, la même société avait aussi ouvert un bureau au Nigeria pour couvrir ce pays et quelques un de ses voisins.
Une récente étude de l’Union internationale des télécommunications a révélé que même dans les pays les plus démunis "des progrès considérables ont été réalisés dans la réduction de la fracture numérique".
Des progrès qui concernent 25 des 50 Pays les moins avancés (PMA) dont certains se trouvent dans la sous-région ouest africaine.
Selon l’UIT, le taux de croissance annuel du nombre d’abonnés aux téléphones cellulaires sur la période 2000-2005, dans les pays les moins avancés dépassent de très loin les 100 % dans plusieurs pays, dont le Niger (171%), le Libéria (155%) et le Mali (142%).
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