Par : Ouestafnews
Le Nigeria a commencé des enquêtes dans le secteur de la téléphonie mobile dans le pays, dont les services sont jugés de mauvaise qualité par la plupart des utilisateurs, a appris Ouestafnews de sources informées.
Une audition des différents opérateurs s’est ainsi déroulé le 18 juillet devant une Commission d’enquête parlementaire, dont l’objectif est de déterminer pourquoi les abonnées aux services GSM nigérians n’ont pas le "service qu’ils méritent", selon un correspondant de la de la radio britannique BBC.
La Commission a été mise sur pied suite à une proposition du député Fancy Hakeem Arole et est présidée par son collègue Leo Okuwe Ogor, selon le quotidien nigérian "The Vanguard".
Pour la société Cell Telecommunications (Celtel), des investissements de 15 milliards de dollars (1 dollar équivaut envrion à 480 FCFA) dans les infrastructures sont nécessaires pour mettre à niveau les installations techniques et fournir un service de qualité.
Selon les opérateurs GSM présents sur le marché nigérian, parmi les principaux handicaps qui minent la qualité du service figurent les "vols" de leurs équipements ainsi que l’irrégularité de la fourniture en électricité.
La forte demande en téléphonie mobile en Afrique de l’ouest et surtout les prévisions de croissance ont attiré beaucoup d’opérateurs dans le marché lucratif de la sous région, mais tous ne fournissent pas des services de qualité ou ne respectent pas, dans certains cas, les règles établies par les autorités. Résultat : dans certains pays, les utilisateurs sont obligés d’avoir deux, voire trois numéros de téléphone cellulaire.
Récemment les autorités béninoises ont décidé de "mettre fin à l’anarchie" dans le secteur du GSM du Bénin: deux opérateurs ont ainsi été suspendus, officiellement pour n’avoir pas respecté "le cahier des charges".
Il y a quelques mois au Sénégal, c’est la Sonatel, premier opérateur du pays devenu filiale de France Télécoms, qui avait été sommée de payer une amende de 3 milliards FCFA pour des défaillances constatées dans la qualité de son service, d’ailleurs souvent décrié par les utilisateurs.
Une audition des différents opérateurs s’est ainsi déroulé le 18 juillet devant une Commission d’enquête parlementaire, dont l’objectif est de déterminer pourquoi les abonnées aux services GSM nigérians n’ont pas le "service qu’ils méritent", selon un correspondant de la de la radio britannique BBC.
La Commission a été mise sur pied suite à une proposition du député Fancy Hakeem Arole et est présidée par son collègue Leo Okuwe Ogor, selon le quotidien nigérian "The Vanguard".
Pour la société Cell Telecommunications (Celtel), des investissements de 15 milliards de dollars (1 dollar équivaut envrion à 480 FCFA) dans les infrastructures sont nécessaires pour mettre à niveau les installations techniques et fournir un service de qualité.
Selon les opérateurs GSM présents sur le marché nigérian, parmi les principaux handicaps qui minent la qualité du service figurent les "vols" de leurs équipements ainsi que l’irrégularité de la fourniture en électricité.
La forte demande en téléphonie mobile en Afrique de l’ouest et surtout les prévisions de croissance ont attiré beaucoup d’opérateurs dans le marché lucratif de la sous région, mais tous ne fournissent pas des services de qualité ou ne respectent pas, dans certains cas, les règles établies par les autorités. Résultat : dans certains pays, les utilisateurs sont obligés d’avoir deux, voire trois numéros de téléphone cellulaire.
Récemment les autorités béninoises ont décidé de "mettre fin à l’anarchie" dans le secteur du GSM du Bénin: deux opérateurs ont ainsi été suspendus, officiellement pour n’avoir pas respecté "le cahier des charges".
Il y a quelques mois au Sénégal, c’est la Sonatel, premier opérateur du pays devenu filiale de France Télécoms, qui avait été sommée de payer une amende de 3 milliards FCFA pour des défaillances constatées dans la qualité de son service, d’ailleurs souvent décrié par les utilisateurs.