Depuis lors, l’opérateur Moov, du groupe Atlantic Telecom, « n’a pas versé un seul centime » pour se conformer à la nouvelle loi, expliquait récemment dans les médias togolais le directeur général de l’Autorité de réglementation des services des postes et télécommunications, Masséna Palouki.
Selon certaines sources citées par les médias locaux à Lomé, des négociations sont en cours, entre le gouvernement et l’opérateur Moov.
Ouestafnews n’a pu vérifier l’existence de telles négociations.
Pour sa part, l’Association togolaise des consommateurs (ATC) souhaite qu’un délai supplémentaire soit accordé à l’opérateur pour lui permettre d’honorer son engagement, indique, selon le site officiel du gouvernement togolais.
« Nous avons été interpelés par plusieurs abonnés et nous avons demandé aux autorités d’accorder un délai supplémentaires à Moov afin de lui permettre de remplir ses obligations », a ainsi affirmé Agouta Oyenga, secrétaire général de l’ATC.
Deux opérateurs GSM se partagent le marché au Togo: Togo Cellulaire et Moov. Ce dernier est également présent dans plusieurs pays d’Afrique de l’ouest: Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire et Niger. Moov opère en outre en Afrique du Sud, à Madagascar et dans des pays du Nord du continent.
Le marché de la téléphonie mobile, en plein boom en Afrique de l’ouest, est également un terrain propice de conflits entre les opérateurs télécoms et les gouvernements de la sous-région.
Avant le Togo, le Bénin avait en 2007 eu à prendre des mesures de suspension contre un opérateur télécoms (Telecel Benin).
La mesure n’avait été levée qu’après un « engagement » de la compagnie à verser 30 milliards FCFA à l’Etat béninois.
De son côté le Sénégal traîne un lancinant contentieux avec le second opérateur du pays (Tigo), ponctuée de menace répétitives de « retrait » de la licence de l’opérateur.
Selon certaines sources citées par les médias locaux à Lomé, des négociations sont en cours, entre le gouvernement et l’opérateur Moov.
Ouestafnews n’a pu vérifier l’existence de telles négociations.
Pour sa part, l’Association togolaise des consommateurs (ATC) souhaite qu’un délai supplémentaire soit accordé à l’opérateur pour lui permettre d’honorer son engagement, indique, selon le site officiel du gouvernement togolais.
« Nous avons été interpelés par plusieurs abonnés et nous avons demandé aux autorités d’accorder un délai supplémentaires à Moov afin de lui permettre de remplir ses obligations », a ainsi affirmé Agouta Oyenga, secrétaire général de l’ATC.
Deux opérateurs GSM se partagent le marché au Togo: Togo Cellulaire et Moov. Ce dernier est également présent dans plusieurs pays d’Afrique de l’ouest: Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire et Niger. Moov opère en outre en Afrique du Sud, à Madagascar et dans des pays du Nord du continent.
Le marché de la téléphonie mobile, en plein boom en Afrique de l’ouest, est également un terrain propice de conflits entre les opérateurs télécoms et les gouvernements de la sous-région.
Avant le Togo, le Bénin avait en 2007 eu à prendre des mesures de suspension contre un opérateur télécoms (Telecel Benin).
La mesure n’avait été levée qu’après un « engagement » de la compagnie à verser 30 milliards FCFA à l’Etat béninois.
De son côté le Sénégal traîne un lancinant contentieux avec le second opérateur du pays (Tigo), ponctuée de menace répétitives de « retrait » de la licence de l’opérateur.
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