Par : Ouestafnews
Taiwan, île dissidente de la République Populaire de Chine qui refuse de lui reconnaître son "indépendance", lance ainsi ce qui ressemble à une contre offensive, après le premier sommet Chine-Afrique organisé l’année dernière par sa rivale de Pékin.
Selon la presse burkinabé, le président Blaise Compaoré, du Burkina Faso dont le pays entretient des relations avec Taipeh au détriment de Pékin, participera à ce sommet.
Le Burkina Faso est l’un des rares pays en Afrique de l’Ouest (avec la Gambie) et dans le monde, à continuer d’entretenir des relations diplomatiques avec Taiwan.
Sur les 24 pays du monde qui continuent de porter leur choix sur Taiwan, seuls cinq se trouvent en Afrique, les trois autres étant le Malawi, Sao-Tomé-et-Principe et le Swaziland.
A la faveur du développement fulgurant de son économie, la Chine populaire a pu freiner l’expansion diplomatique taiwanaise et renouer des relations avec nombre d’Etats africains qui l’avaient un moment délaissée pour se ranger du côté de Taiwan.
L’île avait profité de sa formidable prospérité économique des décennies 80 et 90 pour établir des liens diplomatiques à coup de millions de dollars, généreusement offerts à ses partisans sur le continent.
Aujuourd’hui c’est plutôt la Chine continentale, devenue à son tour grande puissance économique qui joue cette carte de la "diplomatie du chéquier". Ainsi, ils étaient une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement à être présents lors du premier sommet sino-africain tenu à Pékin en Novembre 2006 et lors duquel la Chine populaire avait annoncé d’importantes aides financières et des annulations de dettes au bénéfice de ses alliés africains.
Selon la presse burkinabé, le président Blaise Compaoré, du Burkina Faso dont le pays entretient des relations avec Taipeh au détriment de Pékin, participera à ce sommet.
Le Burkina Faso est l’un des rares pays en Afrique de l’Ouest (avec la Gambie) et dans le monde, à continuer d’entretenir des relations diplomatiques avec Taiwan.
Sur les 24 pays du monde qui continuent de porter leur choix sur Taiwan, seuls cinq se trouvent en Afrique, les trois autres étant le Malawi, Sao-Tomé-et-Principe et le Swaziland.
A la faveur du développement fulgurant de son économie, la Chine populaire a pu freiner l’expansion diplomatique taiwanaise et renouer des relations avec nombre d’Etats africains qui l’avaient un moment délaissée pour se ranger du côté de Taiwan.
L’île avait profité de sa formidable prospérité économique des décennies 80 et 90 pour établir des liens diplomatiques à coup de millions de dollars, généreusement offerts à ses partisans sur le continent.
Aujuourd’hui c’est plutôt la Chine continentale, devenue à son tour grande puissance économique qui joue cette carte de la "diplomatie du chéquier". Ainsi, ils étaient une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement à être présents lors du premier sommet sino-africain tenu à Pékin en Novembre 2006 et lors duquel la Chine populaire avait annoncé d’importantes aides financières et des annulations de dettes au bénéfice de ses alliés africains.
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