Par : Ouestafnews
L’Organisation des nations Unies a suspendu "toutes les activités" d’un de ses contingents de casques bleus stationnés à Bouaké, dans le centre de la Côte d’Ivoire, à la suite de "sérieuses allégations" d’abus sexuels, a appris Ouestafnews de source autorisée.
"Une enquête interne de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a révélé des allégations graves et généralisées sur des cas d’exploitation et d’abus sexuels", affirme l’ONU dans un communiqué très laconique.
L’ONU ne précise pas le pays de provenance du contingent incriminé et désormais cantonné dans son camp. Mais selon la radio britannique BBC, la ville de Bouaké était essentiellement sous le contrôle de forces marocaines, bengladeshies et ghanéennes. Toutefois, cette radio ne précise pas la nationalité exacte des soldats qui sont au centre du scandale.
D’autres médias internationaux, citant des sources anonymes au sein de l’ONUCI ont précisé qu’il s’agit du contingent marocain, qui compte près de 800 hommes.
Ce n’est pas la première fois que des accusations d’abus sexuels pèsent sur des soldats chargés d’opérations de maintien de la paix pour le compte de l’ONU.
Dans son communiqué, l’organisation internationale qui affirme avoir ouvert une enquête, a réitéré sa "politique de tolérance zéro à l’égard des cas d’exploitation et d’abus sexuels".
Dans une résolution adoptée cette semaine (le 16 juillet) le Conseil de sécurité de l’ONU avait décidé de proroger le mandat de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire, ainsi que celles des troupes françaises qui la soutiennent jusqu’en janvier 2008.
"Une enquête interne de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a révélé des allégations graves et généralisées sur des cas d’exploitation et d’abus sexuels", affirme l’ONU dans un communiqué très laconique.
L’ONU ne précise pas le pays de provenance du contingent incriminé et désormais cantonné dans son camp. Mais selon la radio britannique BBC, la ville de Bouaké était essentiellement sous le contrôle de forces marocaines, bengladeshies et ghanéennes. Toutefois, cette radio ne précise pas la nationalité exacte des soldats qui sont au centre du scandale.
D’autres médias internationaux, citant des sources anonymes au sein de l’ONUCI ont précisé qu’il s’agit du contingent marocain, qui compte près de 800 hommes.
Ce n’est pas la première fois que des accusations d’abus sexuels pèsent sur des soldats chargés d’opérations de maintien de la paix pour le compte de l’ONU.
Dans son communiqué, l’organisation internationale qui affirme avoir ouvert une enquête, a réitéré sa "politique de tolérance zéro à l’égard des cas d’exploitation et d’abus sexuels".
Dans une résolution adoptée cette semaine (le 16 juillet) le Conseil de sécurité de l’ONU avait décidé de proroger le mandat de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire, ainsi que celles des troupes françaises qui la soutiennent jusqu’en janvier 2008.
Voulez-vous réagir à cet article ou nous signaler une erreur ? Envoyez-nous un message à info(at)ouestaf.com.