Le lancement de la nouvelle Autorité de l’UA, préalable à la mise en place du gouvernement continental et la nomination des actuels commissaires de l’UA en ministres fédéraux se fera lors du prochain sommet de l’UA, prévu en juillet prochain à Madagascar, a annoncé le président en exercice de l’UA sortant, le Tanzanien Jakaya Kikwete, cité par le quotidien burkinabè Sidwaya.
Le futur président de l’Autorité de l’UA sera assisté par un vice-président. Neuf domaines de compétences partagées vont être créées portant notamment sur la réduction de la pauvreté, la libre circulation des biens et des personnes, les Infrastructures régionales et continentales et les changements climatiques.
La pandémie du SIDA, la recherche universitaire et les Centres d’excellence du continent feront également partie des compétences partagées de la future Autorité de l’UA. Les négociations au niveau du commerce international, les questions de paix, de drogue, seront gérées par la nouvelle structure continentale de même que la coordination des politiques étrangères.
Le contenu des domaines des compétences partagées sera discuté lors du sommet de l’UA qui débute ses travaux lundi dans la capitale éthiopienne, a précisé le chef de l’Etat tanzanien, rappelant qu’avec la nouvelle structure continentale, les Etats africains vont garder leur souveraineté.
Pour sa part, le chef de l’Etat sénégalais Abdoulaye Wade a fait savoir qu’il était favorable à l’appellation ”ministre” au lieu de ”secrétaire”. ”Ce qu’on a décidé c’est que les commissaires vont devenir des secrétaires. C’est Museveni qui a proposé le mot secrétaire, moi j’ai dit +ministre+”, a expliqué M. Wade interrogé par RFI.
”Finalement j’ai dit +pourquoi pas ?+, parce qu’aux Etats-Unis, les ministres sont des secrétaires. Donc nous avons fait des concessions. Maintenant les commissaires deviennent des secrétaires. C’est dejà une évolution. Combien il y en aura et quand est-ce qu’on va proclamer cette Autorités ? Ce sont des questions qui sont posées d’ici deux jours”, a encore dit Abdoulaye Wade.
M. Wade et son homologue libyen le colonel Khadafi, qui vient d’être désigné président en exerce de l’UA, sont les ardents défenseurs de la mise en place immédiate d’un gouvernement de l’Union. Mais leur volonté se heurtent à la réticence d’un groupe dit ”gradualiste” qui préconise d’y aller étape par étape.
Le futur président de l’Autorité de l’UA sera assisté par un vice-président. Neuf domaines de compétences partagées vont être créées portant notamment sur la réduction de la pauvreté, la libre circulation des biens et des personnes, les Infrastructures régionales et continentales et les changements climatiques.
La pandémie du SIDA, la recherche universitaire et les Centres d’excellence du continent feront également partie des compétences partagées de la future Autorité de l’UA. Les négociations au niveau du commerce international, les questions de paix, de drogue, seront gérées par la nouvelle structure continentale de même que la coordination des politiques étrangères.
Le contenu des domaines des compétences partagées sera discuté lors du sommet de l’UA qui débute ses travaux lundi dans la capitale éthiopienne, a précisé le chef de l’Etat tanzanien, rappelant qu’avec la nouvelle structure continentale, les Etats africains vont garder leur souveraineté.
Pour sa part, le chef de l’Etat sénégalais Abdoulaye Wade a fait savoir qu’il était favorable à l’appellation ”ministre” au lieu de ”secrétaire”. ”Ce qu’on a décidé c’est que les commissaires vont devenir des secrétaires. C’est Museveni qui a proposé le mot secrétaire, moi j’ai dit +ministre+”, a expliqué M. Wade interrogé par RFI.
”Finalement j’ai dit +pourquoi pas ?+, parce qu’aux Etats-Unis, les ministres sont des secrétaires. Donc nous avons fait des concessions. Maintenant les commissaires deviennent des secrétaires. C’est dejà une évolution. Combien il y en aura et quand est-ce qu’on va proclamer cette Autorités ? Ce sont des questions qui sont posées d’ici deux jours”, a encore dit Abdoulaye Wade.
M. Wade et son homologue libyen le colonel Khadafi, qui vient d’être désigné président en exerce de l’UA, sont les ardents défenseurs de la mise en place immédiate d’un gouvernement de l’Union. Mais leur volonté se heurtent à la réticence d’un groupe dit ”gradualiste” qui préconise d’y aller étape par étape.
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