Dans son dernier numéro, le magazine basé à Paris souligne que «les principaux contributeurs de ce Fonds seront la Banque africaine de développement (Bad) et l’Agence française de développement (AFD) à hauteur de 40 millions de dollars chacun, aux côtés de divers investisseurs publics et privés.
Dès l’annonce de la décision par la Bad, attendue lors de ces assemblées générales annuelles prévue le 27 et 28 mai, la FAA commencera à distribuer des fonds, assure la même source.
Rédigés par un cabinet d’avocats, ses statuts seront déposés à Maurice, où les procédures d’enregistrement sont particulièrement rapides, fait savoir le journal.
Les pays d’Afrique, et notamment ceux en Afrique de l’Ouest et du Centre situés dans la bande du Sahel, connaissent de sérieuses difficultés d’approvisionnement en produits alimentaires, dues à la crise du secteur agricole, mal financé et mal structuré.
L’agriculture africaine fait aussi face à un nouveau défi, celui de l’accaparement des terres par des multinationales étrangères au détriment des petits propriétaires locaux, à la faveur des politiques de libéralisation imposée par la Banque mondiale.
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