La majorité des médias et des sites d’informations américains lus par Ouestafnews ne doutent plus de la candidature d’Obama, qui devra dans ce cas s’opposer au candidat républicain John McCain déjà assuré de sa nomination depuis longtemps.
Et comme pour renforcer la tendance, les super-délégués (une catégorie spéciale au sein du collège des grands électeurs qui décident de la nomination) ont rallié cette semaine à un rythme soutenu la candidature du sénateur de l’Illinois. Ces super-délégués peuvent voter pour le candidat de leur choix, en faisant fi du choix des citoyens qui les ont investis.
« Le pointage effectué par plusieurs médias donnent une avance pour la première fois à Barack Obama sur le nombre de super-délégués, la dernière catégorie où il était battu par Clinton », écrit le Los Angeles Times qui a annoncé le 10 mai que 9 super-délégués supplémentaires, dont un ex-partisan de Clinton a rallié le camp de son adversaire.
Toutefois, précise le même journal, d’autres décomptes mettent les deux candidats au coude à coude sur le nombre de super-délégués.
Jusque là, le camp de Hillary Clinton détenait un nombre plus important de super-délégués, alors que Obama comptait plus de voix dans le vote « populaire » et devançait la sénatrice de new York au nombre de « délégués » qui – contrairement au super-délégués – sont obligés de suivre le vote des citoyens qui les ont investis.
Ayant ainsi le vent en poupe, le camp de Barack Obama a déjà commencé à songer à la campagne contre le candidat républicain, le sénateur John McCain, du parti républicain assuré déjà d’être le candidat de son parti depuis quelques mois.
Pour certains commentateurs, l’entêtement de Clinton à rester en course, est une stratégie pour se négocier une sortie honorable et profitable : pousser le camp d’Obama à l’aider à payer ses dettes contractées pour sa campagne qui s’élèveraient à plus de 11 millions de dollars d’une part et d’autre part à négocier probablement un ticket de vice-président.
Interrogé sur la question d’une possible vice-présidence, Obama a estimé qu’il est « prématuré » d’en parler, puisque la bataille pour l’investiture n’est pas encore gagnée.
Les primaires dans le camp démocrate ont eu pendant cette année un cachet particulier, en raison de la rivalité Obama/Clinton : d’un côté un noir américain dont le père est originaire du Kenya et de l’autre une femme blanche dont l’époux a déjà été président des Etats-Unis.
Et comme pour renforcer la tendance, les super-délégués (une catégorie spéciale au sein du collège des grands électeurs qui décident de la nomination) ont rallié cette semaine à un rythme soutenu la candidature du sénateur de l’Illinois. Ces super-délégués peuvent voter pour le candidat de leur choix, en faisant fi du choix des citoyens qui les ont investis.
« Le pointage effectué par plusieurs médias donnent une avance pour la première fois à Barack Obama sur le nombre de super-délégués, la dernière catégorie où il était battu par Clinton », écrit le Los Angeles Times qui a annoncé le 10 mai que 9 super-délégués supplémentaires, dont un ex-partisan de Clinton a rallié le camp de son adversaire.
Toutefois, précise le même journal, d’autres décomptes mettent les deux candidats au coude à coude sur le nombre de super-délégués.
Jusque là, le camp de Hillary Clinton détenait un nombre plus important de super-délégués, alors que Obama comptait plus de voix dans le vote « populaire » et devançait la sénatrice de new York au nombre de « délégués » qui – contrairement au super-délégués – sont obligés de suivre le vote des citoyens qui les ont investis.
Ayant ainsi le vent en poupe, le camp de Barack Obama a déjà commencé à songer à la campagne contre le candidat républicain, le sénateur John McCain, du parti républicain assuré déjà d’être le candidat de son parti depuis quelques mois.
Pour certains commentateurs, l’entêtement de Clinton à rester en course, est une stratégie pour se négocier une sortie honorable et profitable : pousser le camp d’Obama à l’aider à payer ses dettes contractées pour sa campagne qui s’élèveraient à plus de 11 millions de dollars d’une part et d’autre part à négocier probablement un ticket de vice-président.
Interrogé sur la question d’une possible vice-présidence, Obama a estimé qu’il est « prématuré » d’en parler, puisque la bataille pour l’investiture n’est pas encore gagnée.
Les primaires dans le camp démocrate ont eu pendant cette année un cachet particulier, en raison de la rivalité Obama/Clinton : d’un côté un noir américain dont le père est originaire du Kenya et de l’autre une femme blanche dont l’époux a déjà été président des Etats-Unis.
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