Les rencontres aux sommets de ces deux institutions sous régionales étaient initialement prévues à Ouagadougou fin décembre mais n’avaient pu se tenir en raison de troubles qui avaient éclaté à Ouagadougou et opposant différents corps des forces de sécurité burkinabé.
La CEDEAO, dont les travaux se tiennent en premier, aura comme grand sujet à l’ordre du jour la crise ivoirienne. Les chefs d’Etats doivent faire de nouvelles propositions pour sortir de l’impasse, suite au constat de "blocage" fait par le Groupe de travail international (GTI) chargé du suivi des accords de paix en Côte d’Ivoire.
Le président Laurent Gbagbo, était parmi les premiers à arriver à Ouagadougou le 18 janvier dans l’après-midi, selon le quotidien pro-gouvernemental du Burkina Faso, Sidwaya.
Quant au sommet de l’UEMOA, il se penchera sur la délicate question de la succession du gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et du président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), toutes deux dirigées par des intérimaires.
En dépit de plusieurs rencontres les chefs d’Etats ne sont toujours pas parvenus à trouver un consensus pour désigner les nouveaux patrons de ces deux institutions, dont la première – la BCEAO- constitue presque le ciment de l’Union.
Selon Sidwaya, seuls les présidents Lansana Conté de Guinée Conakry et Ahmad Teejan Kabbah de Sierra Leone n’avaient pas encore confirmé leur présence à Ouagadougou.
Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo composent l’UEMOA. Ces pays ont une monnaie commune le franc CFA et tendent vers l’établissement d’un marché commun.
Sept autres pays – Cap-Vert, Gambie, Ghana, Guinée-Conakry, Liberia, Nigeria et Sierra Leone – s’ajoutent aux Etats de la première liste pour constituer la CEDEAO.
La CEDEAO, dont les travaux se tiennent en premier, aura comme grand sujet à l’ordre du jour la crise ivoirienne. Les chefs d’Etats doivent faire de nouvelles propositions pour sortir de l’impasse, suite au constat de "blocage" fait par le Groupe de travail international (GTI) chargé du suivi des accords de paix en Côte d’Ivoire.
Le président Laurent Gbagbo, était parmi les premiers à arriver à Ouagadougou le 18 janvier dans l’après-midi, selon le quotidien pro-gouvernemental du Burkina Faso, Sidwaya.
Quant au sommet de l’UEMOA, il se penchera sur la délicate question de la succession du gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et du président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), toutes deux dirigées par des intérimaires.
En dépit de plusieurs rencontres les chefs d’Etats ne sont toujours pas parvenus à trouver un consensus pour désigner les nouveaux patrons de ces deux institutions, dont la première – la BCEAO- constitue presque le ciment de l’Union.
Selon Sidwaya, seuls les présidents Lansana Conté de Guinée Conakry et Ahmad Teejan Kabbah de Sierra Leone n’avaient pas encore confirmé leur présence à Ouagadougou.
Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo composent l’UEMOA. Ces pays ont une monnaie commune le franc CFA et tendent vers l’établissement d’un marché commun.
Sept autres pays – Cap-Vert, Gambie, Ghana, Guinée-Conakry, Liberia, Nigeria et Sierra Leone – s’ajoutent aux Etats de la première liste pour constituer la CEDEAO.
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