A travers cette convention, les deux structures cherchent à « relever ensemble les défis qui interpellent la filière », rapporte le quotidien gouvernemental sénégalais Le Soleil qui annonce la signature de la convention de partenariat.
Le but de ce partenariat est de « regrouper l’ensemble des professionnels africains du coton et créer un cadre de concertation pour traiter des questions d’intérêt commun», avaient indiqué les deux organisations dans un communiqué conjoint transmis à Ouestafnews en prélude à la signature effective de leur convention.
Une grande bataille oppose sur la scène internationale les producteurs de coton africain et ceux des grands pays du Nord, les Etats-Unis notamment.
Au cœur de cette bataille se trouve la question sensible des subventions accordées aux agriculteurs américains mais que l’on interdit aux pays africains, au nom du libéralisme.
A travers ce partenariat stratégique, les deux regroupements veulent « unir leurs efforts pour améliorer la compétitivité des filières cotonnières africaines », selon leurs responsables, notamment le président de l’ACA, le Sénégalais Ahmed Bachir Diop et le Burkinabè François Traoré, président de l’APROCA.
Les deux structures veulent en outre « veiller à l’aménagement et au développement durable des zones cotonnières, défendre le coton africain et satisfaire en priorité la demande des secteurs nationaux. »
L’APROCA a été créée en décembre 2004 à Cotonou au Bénin par des producteurs de 11 pays d’Afrique de l’ouest pour défendre leurs intérêts face à la crise de cette filière qui affecte environ 20 millions de personnes sur le continent.
En plus du Tchad (Afrique centrale), elle réunit le Burkina Faso, le Bénin, le Cameroun, la Côte d’ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Mali, le Sénégal et le Togo.
Pour sa part, l’ACA réunit une trentaine de sociétés cotonnières et d’égrenage réparties dans 14 pays du continent.
Le but de ce partenariat est de « regrouper l’ensemble des professionnels africains du coton et créer un cadre de concertation pour traiter des questions d’intérêt commun», avaient indiqué les deux organisations dans un communiqué conjoint transmis à Ouestafnews en prélude à la signature effective de leur convention.
Une grande bataille oppose sur la scène internationale les producteurs de coton africain et ceux des grands pays du Nord, les Etats-Unis notamment.
Au cœur de cette bataille se trouve la question sensible des subventions accordées aux agriculteurs américains mais que l’on interdit aux pays africains, au nom du libéralisme.
A travers ce partenariat stratégique, les deux regroupements veulent « unir leurs efforts pour améliorer la compétitivité des filières cotonnières africaines », selon leurs responsables, notamment le président de l’ACA, le Sénégalais Ahmed Bachir Diop et le Burkinabè François Traoré, président de l’APROCA.
Les deux structures veulent en outre « veiller à l’aménagement et au développement durable des zones cotonnières, défendre le coton africain et satisfaire en priorité la demande des secteurs nationaux. »
L’APROCA a été créée en décembre 2004 à Cotonou au Bénin par des producteurs de 11 pays d’Afrique de l’ouest pour défendre leurs intérêts face à la crise de cette filière qui affecte environ 20 millions de personnes sur le continent.
En plus du Tchad (Afrique centrale), elle réunit le Burkina Faso, le Bénin, le Cameroun, la Côte d’ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Mali, le Sénégal et le Togo.
Pour sa part, l’ACA réunit une trentaine de sociétés cotonnières et d’égrenage réparties dans 14 pays du continent.
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