Ce Forum "sera l’occasion pour le gouvernement du Libéria d’informer ses partenaires actuels et potentiels des progrès réalisés durant l’année écoulée" sur le plan du développement économique, précise un communiqué publié sur le site de la Banque mondiale.
Au deuxième jour de ce Forum, la présidente libérienne rencontrera personnellement le président George Bush des Etats-unis, rapporte de son côté la radio américaine (VOA) citant un communiqué du gouvernement américain.
Du côté du gouvernement libérien on espère obtenir une annulation ou un allègement de la dette du pays qui se chiffre à 3,7 millions de dollars et qui constitue une charge lourde à porter pour un pays sorti de la guerre et où "tout est priorité".
Après plus d’une décennie de guerre civile le Libéria a retrouvé la paix en 2003 et renoué avec la démocratie.Une relative stabilité s’est installée avec l’élection il y a un peu plus d’un an d’Ellen Johnson-Sirleaf, dont le principal défi est de reconstruire ce pays d’environ 3 millions d’habitants complètement détruit.
Toutefois, les institutions financières internationales commencent à reconnaître les efforts de son gouvernement.
En 2006, le pays a enregistré un taux de croissance de 6% et les recettes de l’Etat ont augmenté de 50 %. Le Libéria a été déclaré éligible à l’AGOA (African growth and opportunity act), programme américain visant à soutenir les économies de certains pays d’Afrique en facilitant par exemple l’accès de leurs produits au marché US.
Au deuxième jour de ce Forum, la présidente libérienne rencontrera personnellement le président George Bush des Etats-unis, rapporte de son côté la radio américaine (VOA) citant un communiqué du gouvernement américain.
Du côté du gouvernement libérien on espère obtenir une annulation ou un allègement de la dette du pays qui se chiffre à 3,7 millions de dollars et qui constitue une charge lourde à porter pour un pays sorti de la guerre et où "tout est priorité".
Après plus d’une décennie de guerre civile le Libéria a retrouvé la paix en 2003 et renoué avec la démocratie.Une relative stabilité s’est installée avec l’élection il y a un peu plus d’un an d’Ellen Johnson-Sirleaf, dont le principal défi est de reconstruire ce pays d’environ 3 millions d’habitants complètement détruit.
Toutefois, les institutions financières internationales commencent à reconnaître les efforts de son gouvernement.
En 2006, le pays a enregistré un taux de croissance de 6% et les recettes de l’Etat ont augmenté de 50 %. Le Libéria a été déclaré éligible à l’AGOA (African growth and opportunity act), programme américain visant à soutenir les économies de certains pays d’Afrique en facilitant par exemple l’accès de leurs produits au marché US.
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