« Des décisions seront prises lors de cette réunion », a indiqué M. Ping au cours d’une conférence de presse en marge d’une session du Parlement panafricain.
En cas de prise de sanctions contre la junte, l’UA en informera le groupe de contact sur la Guinée, a ajouté Jean Ping dont les propos sont rapportés par l’Agence de presse sénégalaise (APS, officelle).
Le patron de l’UA a souligné la nécessité d’accroître « la pression pour que les sanctions qui seront décidées soient appliquées ».
Sans évoquer les types de sanctions qu’encourent les responsables guinéens, M. Ping a toutefois déploré le « faible impact » de certaines mesures comme l’interdiction de voyager ou le blocage des comptes bancaires.
Ce type de sanctions avait été réclamé par le Bureau régional de l’Onu pour l’Afrique de l’Ouest (Unowa) lors d’une récente réunion au Sénégal. L’appel avait été lancé en direction des chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest.
« Ce sont des gens qui ne voyagent pas beaucoup ou qui ne disposent pas de comptes à l’étranger », a expliqué le président de la Commission de l’UA, parlant des dirigeants guinéens.
La Cedeao a déjà décidé d’un « embargo sur les armes » pour la Guinée, pays où es actes de violences perpétrés par des militaires le 28 septembre 2009 contre des partisans de l’opposition ont mis en péril la transition initiée en décembre 2008 par le Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD, junte militaire).
Cette junte dirigée par le capitaine Moussa Dadis Camara est aujourd’hui soumise à de fortes pressions de la communauté internationale, notamment celles de la France et des Etats-Unis.
L’Union africaine avait lancé un ultimatum au capitaine Moussa Dadis Camara pour qu’il officialise par écrit au plus tard le 17 octobre son intention de ne pas se présenter à une prochaine présidentielle en Guinée, mais ce dernier a répondu affirmant laisser le dossier de sa candidature au président burkinabé Blaise Compaoré.
Ce dernier a été chargé par ses pairs de la Cedeao de conduire une médiation entre la junte et l’opposition au lendemain des troubles du 28 septembre.
En cas de prise de sanctions contre la junte, l’UA en informera le groupe de contact sur la Guinée, a ajouté Jean Ping dont les propos sont rapportés par l’Agence de presse sénégalaise (APS, officelle).
Le patron de l’UA a souligné la nécessité d’accroître « la pression pour que les sanctions qui seront décidées soient appliquées ».
Sans évoquer les types de sanctions qu’encourent les responsables guinéens, M. Ping a toutefois déploré le « faible impact » de certaines mesures comme l’interdiction de voyager ou le blocage des comptes bancaires.
Ce type de sanctions avait été réclamé par le Bureau régional de l’Onu pour l’Afrique de l’Ouest (Unowa) lors d’une récente réunion au Sénégal. L’appel avait été lancé en direction des chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest.
« Ce sont des gens qui ne voyagent pas beaucoup ou qui ne disposent pas de comptes à l’étranger », a expliqué le président de la Commission de l’UA, parlant des dirigeants guinéens.
La Cedeao a déjà décidé d’un « embargo sur les armes » pour la Guinée, pays où es actes de violences perpétrés par des militaires le 28 septembre 2009 contre des partisans de l’opposition ont mis en péril la transition initiée en décembre 2008 par le Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD, junte militaire).
Cette junte dirigée par le capitaine Moussa Dadis Camara est aujourd’hui soumise à de fortes pressions de la communauté internationale, notamment celles de la France et des Etats-Unis.
L’Union africaine avait lancé un ultimatum au capitaine Moussa Dadis Camara pour qu’il officialise par écrit au plus tard le 17 octobre son intention de ne pas se présenter à une prochaine présidentielle en Guinée, mais ce dernier a répondu affirmant laisser le dossier de sa candidature au président burkinabé Blaise Compaoré.
Ce dernier a été chargé par ses pairs de la Cedeao de conduire une médiation entre la junte et l’opposition au lendemain des troubles du 28 septembre.
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