”Des amendements de la Constitution seront proposés au cours des journées de concertation pour assurer l’équilibre entre pouvoirs législatif et exécutif”, a indiqué Moulay Ould Mohamed Laghdaf dont les propos sont rapportés par l’Agence Nouakchott d’information (ANI, privée).
”Le nouveau gouvernement, marqué par sa compétence, va se focaliser sur les problèmes économiques et sociaux du citoyen afin de trouver les moyens de les résoudre le plus rapidement possible”, a-t-il dit.
Moulay Ould Mohamed Laghdaf, ancien ambassadeur de la Mauritanie en Belgique et aurpès de l’Union européenne, a été récemment nommé à la tête du gouvernement par le chef
de la junte militaire, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, arrivé au pouvoir par un coup.
La Mauritanie traverse, depuis quelques mois, une crise politico-institutionnelle qui a abouti, le 6 août dernier au renversement du président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Son tombeur, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui semble déterminé à rester au pouvoir, s’est refusé à annoncer une date pour l’organisation de prochaines élections qui marqueraient le retour à un régime civil. Il refuse toujours de libérer l’ex-chef d’Etat.
La Mauritanie avait connu en 2007 une transition jugée ”réussie” vers la démocratie avec l’élection du président Ould Abdallahi et le départ des militaires dirigés à l’époque par le président Ely Mohamed Ould Vall.
Le coup d’Etat du général Ould Abdel Aziz a mis fin aux espoirs d’importantes franges de la société de voir enfin leur pays dirigé par un civil et s’engager sur la voie de la démocratie.
”Le nouveau gouvernement, marqué par sa compétence, va se focaliser sur les problèmes économiques et sociaux du citoyen afin de trouver les moyens de les résoudre le plus rapidement possible”, a-t-il dit.
Moulay Ould Mohamed Laghdaf, ancien ambassadeur de la Mauritanie en Belgique et aurpès de l’Union européenne, a été récemment nommé à la tête du gouvernement par le chef
de la junte militaire, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, arrivé au pouvoir par un coup.
La Mauritanie traverse, depuis quelques mois, une crise politico-institutionnelle qui a abouti, le 6 août dernier au renversement du président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Son tombeur, Mohamed Ould Abdel Aziz, qui semble déterminé à rester au pouvoir, s’est refusé à annoncer une date pour l’organisation de prochaines élections qui marqueraient le retour à un régime civil. Il refuse toujours de libérer l’ex-chef d’Etat.
La Mauritanie avait connu en 2007 une transition jugée ”réussie” vers la démocratie avec l’élection du président Ould Abdallahi et le départ des militaires dirigés à l’époque par le président Ely Mohamed Ould Vall.
Le coup d’Etat du général Ould Abdel Aziz a mis fin aux espoirs d’importantes franges de la société de voir enfin leur pays dirigé par un civil et s’engager sur la voie de la démocratie.
Vous voulez réagir à cet article ou nous signaler une erreur, envoyez nous un mail à info[@]ouestaf.com