Les populations vivant sur les sites miniers au Mali (Kalana, Syama, Sadiola, Morila, Yatéla, Loulo, bénéficient des nombreuses créations d’emplois qui constituent des activités génératrices de revenus, « alors qu’avant, leur activité principale était l’orpaillage traditionnel, qui leur permettait tout juste de survivre », soutiennent les autorités de Randgold.
Elles jouissent aussi des réalisations de forages, de la construction d’écoles et de mosquées, de l’ouverture de pharmacies, de la création de centres de santé équipés, du désenclavement par la construction de routes, sans oublier l’amélioration de l’agriculture.
A en croire le directeur de Morila-SA, Samba Touré, du début de la mine en 2000 à nos jours, Morila a injecté dans le budget du Mali environ 467,61 milliards de CFA. Randgold soutient que les 50 % des revenus de la mine de Morila vont au Trésor public.
En matière d’emploi, les chiffres de Morila-SA sont éloquents. Aujourd’hui, 1524 personnes y travaillent sous les régimes de l’emploi permanent ou temporaire. Les permanents nationaux sont au nombre de 461. Les temporaires, y compris les stagiaires, sont estimés à 125 et les expatriés à 27. Les travailleurs des entreprises sous-traitantes sont en majorité des permanents nationaux (831) les temporaires, y compris les stagiaires, 261et les expatriés sont au nombre de 40.
Selon la direction de Morila-SA, grâce à la mine, les localités situées à proximité de la carrière ont bénéficié des projets de développement.
Les ressources totales à Loulo s’élèvent actuellement à 11,94 millions d’onces d’or dont 9,51 millions sont dans les catégories mesurées et indiquées. Les réserves à ciel ouvert, basées sur un prix de l’or à US$ 550 l’once et les dépôts de minerai, s’élèvent présentement à 1,07 million d’onces tandis que les ressources souterraines s’élèvent à 6,33 millions d’onces.
A rappeler que les dons de la société à la communauté locale de Loulo au cours des trois premières années de son fonctionnement s’élèvent à plus de US $500 000. La mine a réalisé pour les communautés de Loulo, Baboto et Djdian-Kéniéba des écoles primaires. Un second cycle a été construit pour les communautés et les travailleurs. Treize forages équipés de pompes manuelles ont été également réalisés pour la fourniture en eau potable.
De façon spécifique, Somilo alloue un budget annuel de 30 millions de F CFA destiné au développement des communautés, indépendamment des 160 millions d’investissements en 2006.
Aux dires des responsables de la mine, depuis son ouverture en 2000, Morila-SA a investi 1,044 milliard de F CFA dans les dépenses de santé, d’éducation, d’agriculture et autres apports aux communautés concernées.
La part du secteur minier dans les exportations au compte de l’année 2006, souligne Lassine Touré, directeur régional de la géologie et des mines de la région de Kayes, est estimée à 618 milliards de F CFA dans laquelle l’or contribue pour plus de 90 % d’après le rapport de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) sur les perspectives économiques.
Mais, en réalité, selon Mahamadou Samaké, les sociétés minières n’ont pas pour vocation de venir développer le Mali. « Mais le Mali doit profiter de leurs activités pour se développer ou développer une région. Ceci devra être l’objectif d’une politique minière. Le problème au Mali, est que la fiscalité minière est basée sur la taxation des revenus, au lieu des profits. Ce qui est loin d’être incitatif pour des investisseurs miniers. En instaurant une fiscalité et un code minier plus attractifs, le pays se développerait davantage, avec l’activité minière qui agit sur le développement de l’économie d’une manière générale », dit-il.
C’est ce qui guide véritablement la création de richesses à travers notamment les emplois.
Elles jouissent aussi des réalisations de forages, de la construction d’écoles et de mosquées, de l’ouverture de pharmacies, de la création de centres de santé équipés, du désenclavement par la construction de routes, sans oublier l’amélioration de l’agriculture.
A en croire le directeur de Morila-SA, Samba Touré, du début de la mine en 2000 à nos jours, Morila a injecté dans le budget du Mali environ 467,61 milliards de CFA. Randgold soutient que les 50 % des revenus de la mine de Morila vont au Trésor public.
En matière d’emploi, les chiffres de Morila-SA sont éloquents. Aujourd’hui, 1524 personnes y travaillent sous les régimes de l’emploi permanent ou temporaire. Les permanents nationaux sont au nombre de 461. Les temporaires, y compris les stagiaires, sont estimés à 125 et les expatriés à 27. Les travailleurs des entreprises sous-traitantes sont en majorité des permanents nationaux (831) les temporaires, y compris les stagiaires, 261et les expatriés sont au nombre de 40.
Selon la direction de Morila-SA, grâce à la mine, les localités situées à proximité de la carrière ont bénéficié des projets de développement.
Les ressources totales à Loulo s’élèvent actuellement à 11,94 millions d’onces d’or dont 9,51 millions sont dans les catégories mesurées et indiquées. Les réserves à ciel ouvert, basées sur un prix de l’or à US$ 550 l’once et les dépôts de minerai, s’élèvent présentement à 1,07 million d’onces tandis que les ressources souterraines s’élèvent à 6,33 millions d’onces.
A rappeler que les dons de la société à la communauté locale de Loulo au cours des trois premières années de son fonctionnement s’élèvent à plus de US $500 000. La mine a réalisé pour les communautés de Loulo, Baboto et Djdian-Kéniéba des écoles primaires. Un second cycle a été construit pour les communautés et les travailleurs. Treize forages équipés de pompes manuelles ont été également réalisés pour la fourniture en eau potable.
De façon spécifique, Somilo alloue un budget annuel de 30 millions de F CFA destiné au développement des communautés, indépendamment des 160 millions d’investissements en 2006.
Aux dires des responsables de la mine, depuis son ouverture en 2000, Morila-SA a investi 1,044 milliard de F CFA dans les dépenses de santé, d’éducation, d’agriculture et autres apports aux communautés concernées.
La part du secteur minier dans les exportations au compte de l’année 2006, souligne Lassine Touré, directeur régional de la géologie et des mines de la région de Kayes, est estimée à 618 milliards de F CFA dans laquelle l’or contribue pour plus de 90 % d’après le rapport de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) sur les perspectives économiques.
Mais, en réalité, selon Mahamadou Samaké, les sociétés minières n’ont pas pour vocation de venir développer le Mali. « Mais le Mali doit profiter de leurs activités pour se développer ou développer une région. Ceci devra être l’objectif d’une politique minière. Le problème au Mali, est que la fiscalité minière est basée sur la taxation des revenus, au lieu des profits. Ce qui est loin d’être incitatif pour des investisseurs miniers. En instaurant une fiscalité et un code minier plus attractifs, le pays se développerait davantage, avec l’activité minière qui agit sur le développement de l’économie d’une manière générale », dit-il.
C’est ce qui guide véritablement la création de richesses à travers notamment les emplois.
(Dossier réalisé par Idrissa Sako)
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