La décision a été prise à l’issue de la 7ème réunion des ministres en charge des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication (TIC) de l’organisation sous régionale, tenue le 16 octobre 2008, rapporte l’agence de presse capverdienne Inforpress (agence officielle) consultée par Ouestafnews.
Cette lutte portera sur une «coopération plus étroite entre les Etats, surtout entre les services de sécurité » a affirmé David Gomes le ministre capverdien au nom de ses pairs, s’exprimant à l’issue de la rencontre.
La CEDEAO envisage également la « création d’un centre » qui sera chargée de la lutte contre la cybercriminalité dans l’espace CEDEAO, selon le ministre cité par Inforpress.
D’autres recommandations ont été faites, notamment portant sur la contribution des Etats membres au Fonds de Solidarité Numérique, à la protection des données personnelles, tout ceci entrant dans le cadre d’une politique sous régionale concertée.
L’explosion des TICs en Afrique de l’Ouest a créé beaucoup de nouvelles dans plusieurs secteurs de l ‘économie ouest africaine, mais a aussi vu l’apparition de nouvelles formes de criminalités, particulièrement présentes dans la sous région.
Le phénomène a atteint des proportions telles que tout récemment, un pays comme l’Inde par exemple s’est vu dans l’obligation de lancer un appel public à ses opérateurs économiques pour les sensibiliser sur la présence de bandes de cybercriminels très organisés dans plusieurs pays ouest africains, qui visent les hommes d’affaires Indiens et mettent parfois en danger la vie de ceux-ci.
Le gouvernement indien avait ouvertement cité des pays comme le Nigeria, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Burkina, le Ghana, le Bénin et le Togo, comme étant les bases à partir desquelles opéraient ces “escrocs”.
Parmi les pratiques les plus connus de cybercriminalité figurent le fameux “Nigerian scam” ou encore “419 scam”.
Pratique originaire du Nigeria, celle-ci consite à soutirer d’énormes sommes d’argent contre la promesse de contrats d’affaires mirobolants, ou de transferts de gros montants que l’on veut sortir illégalement d’un pays, ou encore de gains substantiels à des loteries étrangères.
Outre les sept pays cités par le gouvernement indien, huit autres pays sont membres de la CEDEAO : Cap Vert, Gambie, Guinée Conakry, Guinée Bissau, Liberia, Mali, Niger et Sierra Leone.
Cette lutte portera sur une «coopération plus étroite entre les Etats, surtout entre les services de sécurité » a affirmé David Gomes le ministre capverdien au nom de ses pairs, s’exprimant à l’issue de la rencontre.
La CEDEAO envisage également la « création d’un centre » qui sera chargée de la lutte contre la cybercriminalité dans l’espace CEDEAO, selon le ministre cité par Inforpress.
D’autres recommandations ont été faites, notamment portant sur la contribution des Etats membres au Fonds de Solidarité Numérique, à la protection des données personnelles, tout ceci entrant dans le cadre d’une politique sous régionale concertée.
L’explosion des TICs en Afrique de l’Ouest a créé beaucoup de nouvelles dans plusieurs secteurs de l ‘économie ouest africaine, mais a aussi vu l’apparition de nouvelles formes de criminalités, particulièrement présentes dans la sous région.
Le phénomène a atteint des proportions telles que tout récemment, un pays comme l’Inde par exemple s’est vu dans l’obligation de lancer un appel public à ses opérateurs économiques pour les sensibiliser sur la présence de bandes de cybercriminels très organisés dans plusieurs pays ouest africains, qui visent les hommes d’affaires Indiens et mettent parfois en danger la vie de ceux-ci.
Le gouvernement indien avait ouvertement cité des pays comme le Nigeria, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Burkina, le Ghana, le Bénin et le Togo, comme étant les bases à partir desquelles opéraient ces “escrocs”.
Parmi les pratiques les plus connus de cybercriminalité figurent le fameux “Nigerian scam” ou encore “419 scam”.
Pratique originaire du Nigeria, celle-ci consite à soutirer d’énormes sommes d’argent contre la promesse de contrats d’affaires mirobolants, ou de transferts de gros montants que l’on veut sortir illégalement d’un pays, ou encore de gains substantiels à des loteries étrangères.
Outre les sept pays cités par le gouvernement indien, huit autres pays sont membres de la CEDEAO : Cap Vert, Gambie, Guinée Conakry, Guinée Bissau, Liberia, Mali, Niger et Sierra Leone.
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