Last Updated on 27/01/2017 by Ouestafnews
Les fonctionnaires ivoiriens en grève depuis le 09 janvier ont suspendu ce vendredi 27 janvier 2017, leur mot d’ordre pour une durée d’un mois, a appris Ouestafnews de source syndicale. Cette décision est actée « afin de donner une chance aux discussions à venir » précise le communiqué syndicale publié ce vendredi 27 janvier 2017. La plateforme syndicale invite selon le meme communiqué, les fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire à reprendre le travail dès lundi 30 Janvier 2017. Cette suspension du mot d’ordre intervient suite à la mise en place d’un comité technique mixte, chargé d’étudier les revendications portant sur des arriérés de salaires entre autres points.
Burkina Faso : hausse annoncée de la production agricole vivrière
La production prévisionnelle totale des cultures de rente au Burkina Faso est évaluée à 1 617 990 tonnes., a-t-on appris de source officielle. « Cette production est en hausse de 16,41% par rapport à la campagne précédente et de 32,87% par rapport à la moyenne des cinq dernières campagnes » précise le communiqué gouvernemental parvenu à Ouestafnews. La production céréalière totale attendue est de 4 705 030 tonnes, soit une hausse de 12,30% par rapport à la campagne 2015-2016 et de 6,48% par rapport à la moyenne des cinq dernières années. La production prévisionnelle totale des autres cultures vivrières (niébé, voandzou, igname et patate) s’établit à 842 791 tonnes, soit une hausse de 21,44% comparativement à la campagne 2015-2016.
Togo : mise en place d’un organe de suivi de la décentralisation
Le gouvernement togolais vient de mettre en place un Conseil national de suivi de la décentralisation (CNSD) apprend-t-on de source officielle. Le CNSD a pour mission essentielle de fixer les orientations pour la mise en œuvre de la décentralisation et de veiller à leur cohérence avec les autres politiques sectorielles.
Nigeria : Fitch abaisse ses perspectives sur la note d’emprunt du pays
Fitch Ratings a maintenu à « B+ » la note d’émetteur en devise étrangères sur le long terme du Nigéria, mais en abaisse les perspectives de « stables », à « négatives », indique l’agence dans une note relayée par Agence Ecofin. L’agence explique sa décision par un déficit persistant des liquidités en devises, associé à une faible production pétrolière, qui a plombé l’économie nigériane, la poussant même en récession, au cours de l’année 2016. De plus, les analystes de Fitch prévoient pour 2017, « une relance faible de la croissance économique au Nigéria à seulement + 1,5%, loin des moyennes de 4,8% réalisées durant les années 2011-15 ».
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