
Les opérations de vote qui auraient dû démarrer à 08H00 (heure locale et GMT) ont connu des retards dans plusieurs localités, rapportent des témoins ainsi que les correspondants des médias sénégalais sur le terrain.
Les mêmes sources font également état de quelques dysfonctionnements dont l’absence de bureaux de vote pour des électeurs inscrits, des urnes défectueuses, des bureaux de vote où sont inscrits des nombres insignifiants de votants et surtout la qualité de l’encre indélébile, qui ne serait pas irréprochable, etc..
Il était encore tôt dimanche matin pour savoir quel serait l’impact de ces défaillances sur l’issue du vote.
S’exprimant sur les ondes d’une radio privée, Alioune Tine, secrétaire général de la Rencontre Africaine pour la Défense des droits de l’Homme (Raddho) qui a des observateurs sur le terrain, a confirmé la plupart de ces défaillances tout en appelant tous les acteurs concernés a "réagir très vite" pour corriger les dysfonctionnement et s’assurer que le scrutin est aussi transparent que celui de 2000. M. Tine a aussi salué la discipline et la détermination des électeurs souhaitant que cela se poursuive tout le long de la journée.
De leut côté les représentants des candidats de l’opposition ont vu dans ces nombreux dysfonctionnements la confirmation de leurs soupçons "de fraude à grande échelle" que préparerait, selon eux, le gouvernement en dépit des assurances du ministère de l’intérieur en charge de l’organisation des élections.
Quinze candidats convoitent la présidence à l’occasion de ce scrutin.
Parmi les candidats ayant une chance de se retrouver au second tour, s’il a lieu, figurent — outre le président sortant — Ousmane Tanor Dieng, candidat de l’ex-parti au pouvoir, Moustapha Niasse, leader de l’Alliance des forces de progrès soutenue par une coalition, Abdoulaye Bathily, candidat de la Ligue Démocratique, également investi par une coalition et Idrissa Seck, ancien premier ministre de Wade devenu son ennemi depuis que ce dernier l’a limogé avant de le faire emprisonner pour une affaire de corruption portant sur des milliards de FCFA.
Les mêmes sources font également état de quelques dysfonctionnements dont l’absence de bureaux de vote pour des électeurs inscrits, des urnes défectueuses, des bureaux de vote où sont inscrits des nombres insignifiants de votants et surtout la qualité de l’encre indélébile, qui ne serait pas irréprochable, etc..
Il était encore tôt dimanche matin pour savoir quel serait l’impact de ces défaillances sur l’issue du vote.
S’exprimant sur les ondes d’une radio privée, Alioune Tine, secrétaire général de la Rencontre Africaine pour la Défense des droits de l’Homme (Raddho) qui a des observateurs sur le terrain, a confirmé la plupart de ces défaillances tout en appelant tous les acteurs concernés a "réagir très vite" pour corriger les dysfonctionnement et s’assurer que le scrutin est aussi transparent que celui de 2000. M. Tine a aussi salué la discipline et la détermination des électeurs souhaitant que cela se poursuive tout le long de la journée.
De leut côté les représentants des candidats de l’opposition ont vu dans ces nombreux dysfonctionnements la confirmation de leurs soupçons "de fraude à grande échelle" que préparerait, selon eux, le gouvernement en dépit des assurances du ministère de l’intérieur en charge de l’organisation des élections.
Quinze candidats convoitent la présidence à l’occasion de ce scrutin.
Parmi les candidats ayant une chance de se retrouver au second tour, s’il a lieu, figurent — outre le président sortant — Ousmane Tanor Dieng, candidat de l’ex-parti au pouvoir, Moustapha Niasse, leader de l’Alliance des forces de progrès soutenue par une coalition, Abdoulaye Bathily, candidat de la Ligue Démocratique, également investi par une coalition et Idrissa Seck, ancien premier ministre de Wade devenu son ennemi depuis que ce dernier l’a limogé avant de le faire emprisonner pour une affaire de corruption portant sur des milliards de FCFA.
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