Le choix de la Chine pour abriter ses assises n’est pas gratuit, puisqu’il intervient dans un contexte marqué par une impressionnante offensive diplomatico-économico-commerciale chinoise en direction du continent.
Cette offensive se manifesté notamment par la multiplication des accords de coopération bilatérale entre la Chine et des Etats africains, par des annulations de dettes annoncées lors d’un grand sommet sino-africain tenu fin 2006 à Pékin.
Les assemblées annuelles de la BAD réunit "les ministres des finances, de l’économie, de la planification ou dans certains cas, gouverneurs de Banque centrale, représentant les 77 pays membres de l’institution financière multilatérale, selon un communiqué parvenu à Ouestafnews à la veille de l’ouverture des travaux.
Ces assemblées constituent pour la BAD "des moments privilégiées d’examiner ses activités et d’élaborer les programmes des prochaines années".
Selon Donal Kaberuka, président de l’institution financière panafricaine, elle-ci «s’efforce d’améliorer son efficacité et la qualité de ses opérations en s’appuyant sur quatre principes de base : la notion d’appropriation en faveur des pays et la propriété ; une plus grande sélectivité ; un partenariat stratégique avec les partenaires du développement et le renforcement de la connaissance".
La BAD estime qu’il est aujourd’hui devenu "plus facile" aujourd’hui pour elle "de répondre aux besoins du développement de l’Afrique et ce en grande partie grâce aux réformes qui, parmi d’autres stimulus, ont aidé l’institution à maintenir la solidité de son portefeuille financier, à améliorer la gestion de ses ressources humaines et à organiser ses fonctions statistiques et de recherche".
A la veille des ses assemblées annuelles, la BAD s’est félicité de "ses excellent résultats opérationnels et financiers" affirmant avoir enregistré une augmentation générale des approbations de dons et de prêts, qui sont passés de 3.3 milliards en 2005 à 3.5 milliards de dollars US en 2006.
Depuis sa création en 1964, avec pour objectif de mobiliser les ressources pour le financement du développement économique, pour les projets sociaux et les programmes de ses 53 pays membres régionaux, l’institution a approuvé 3102 prêts.
Le siège du groupe de la BAD est Abidjan en Côte d’Ivoire, mais la crise qui sévit dans ce pays depuis septembre 2002 a poussé l’institution à transférer ses activités "temporairement" à Tunis.(Ouestafnews)
Cette offensive se manifesté notamment par la multiplication des accords de coopération bilatérale entre la Chine et des Etats africains, par des annulations de dettes annoncées lors d’un grand sommet sino-africain tenu fin 2006 à Pékin.
Les assemblées annuelles de la BAD réunit "les ministres des finances, de l’économie, de la planification ou dans certains cas, gouverneurs de Banque centrale, représentant les 77 pays membres de l’institution financière multilatérale, selon un communiqué parvenu à Ouestafnews à la veille de l’ouverture des travaux.
Ces assemblées constituent pour la BAD "des moments privilégiées d’examiner ses activités et d’élaborer les programmes des prochaines années".
Selon Donal Kaberuka, président de l’institution financière panafricaine, elle-ci «s’efforce d’améliorer son efficacité et la qualité de ses opérations en s’appuyant sur quatre principes de base : la notion d’appropriation en faveur des pays et la propriété ; une plus grande sélectivité ; un partenariat stratégique avec les partenaires du développement et le renforcement de la connaissance".
La BAD estime qu’il est aujourd’hui devenu "plus facile" aujourd’hui pour elle "de répondre aux besoins du développement de l’Afrique et ce en grande partie grâce aux réformes qui, parmi d’autres stimulus, ont aidé l’institution à maintenir la solidité de son portefeuille financier, à améliorer la gestion de ses ressources humaines et à organiser ses fonctions statistiques et de recherche".
A la veille des ses assemblées annuelles, la BAD s’est félicité de "ses excellent résultats opérationnels et financiers" affirmant avoir enregistré une augmentation générale des approbations de dons et de prêts, qui sont passés de 3.3 milliards en 2005 à 3.5 milliards de dollars US en 2006.
Depuis sa création en 1964, avec pour objectif de mobiliser les ressources pour le financement du développement économique, pour les projets sociaux et les programmes de ses 53 pays membres régionaux, l’institution a approuvé 3102 prêts.
Le siège du groupe de la BAD est Abidjan en Côte d’Ivoire, mais la crise qui sévit dans ce pays depuis septembre 2002 a poussé l’institution à transférer ses activités "temporairement" à Tunis.(Ouestafnews)
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