Le général Gilbert Diendéré, présumés cerveaux du coup d’Etat manqué de 2015 au Burkina Faso, a été mis en cause pour la premier fois depuis l’ouverture du procès par un co-accusé, selon une information rapportée par l’AFP.
Le général Diendéré « a instruit (donné l’instruction) de faire le coup d’Etat », a indiqué l’adjudant Jean-Florent Nion, quatrième accusé à témoigner dans ce procès.
Le 16 septembre 2015, des soldats du régiment de sécurité présidentielle (RSP) avaient tenté de renverser le gouvernement de transition mis en place après la chute du président Blaise Compaoré.