Devant la presse, cette native du Tennessee (États Unis) qui s’est mise au jazz dès l’âge de quinze ans avec des ténors de ce genre musical comme Dizzy Gillepsie ou encore Sonny Rollins, a annoncé son intention de fusionner sa musique avec des rythmes du Mali en vue de sortir un album.
Cette nouvelle production sera conçue avec des rythmes traditionnels de Ségou, ville située à 240 kms de Bamako, au centre du Mali.
La chanteuse malienne Oumou Sangaré participera à cet album.
Dee Dee Bridgewater, qui avait déjà visité l’Afrique de l’ouest auparavant, se retrouve en terre malienne pour la deuxième fois. Elle devrait passer 4 jours au studio Bogolan à Bamako, pour des essais avant de s’envoler à Paris.
"Je ne suis pas un artiste qui fait des disques pour avoir de l’argent mais pour m’exprimer, améliorer ma réputation en Amérique et dans le reste du monde", a déclaré la cantatrice qui dit ignorer le nombre de disques à son actif", et dont le rêve aujourd’hui est d’établir un pont entre le jazz et la musique malienne.
"Pour moi, le plus important c’est de laisser une trace de ma vie artistique. Je suis une femme de cœur et d’action qui vient en Afrique pour retrouver ses racines. Je sais que la musique malienne est une musique très recherchée dans le monde », a-telle ajouté.
Dee Dee Bridgewater a reçu de nombreux prix, dont notamment le « Jazz Academy Awards » en 1995 et en 1998. Elle a été nommée chevalier de l’Ordre national du mérite par le président Français François Mitterrand, et officier des arts et des lettres par le ministre français de la Culture et de la Communication. Son album, qui a reçu le plus grand succès s’appelle, « Dear Ella ». Elle est aussi ambassadeur de bonne volonté de la FAO.
Cette nouvelle production sera conçue avec des rythmes traditionnels de Ségou, ville située à 240 kms de Bamako, au centre du Mali.
La chanteuse malienne Oumou Sangaré participera à cet album.
Dee Dee Bridgewater, qui avait déjà visité l’Afrique de l’ouest auparavant, se retrouve en terre malienne pour la deuxième fois. Elle devrait passer 4 jours au studio Bogolan à Bamako, pour des essais avant de s’envoler à Paris.
"Je ne suis pas un artiste qui fait des disques pour avoir de l’argent mais pour m’exprimer, améliorer ma réputation en Amérique et dans le reste du monde", a déclaré la cantatrice qui dit ignorer le nombre de disques à son actif", et dont le rêve aujourd’hui est d’établir un pont entre le jazz et la musique malienne.
"Pour moi, le plus important c’est de laisser une trace de ma vie artistique. Je suis une femme de cœur et d’action qui vient en Afrique pour retrouver ses racines. Je sais que la musique malienne est une musique très recherchée dans le monde », a-telle ajouté.
Dee Dee Bridgewater a reçu de nombreux prix, dont notamment le « Jazz Academy Awards » en 1995 et en 1998. Elle a été nommée chevalier de l’Ordre national du mérite par le président Français François Mitterrand, et officier des arts et des lettres par le ministre français de la Culture et de la Communication. Son album, qui a reçu le plus grand succès s’appelle, « Dear Ella ». Elle est aussi ambassadeur de bonne volonté de la FAO.
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