Par: Ouestafnews
Le géant australien du pétrole et du gaz a l’intention de se consacrer désormais à ses activités en Australie en plein boom, particulièrement dans le domaine du gaz, alors que l’essentiel de ses projets en Afrique peinent à décoller.
Outre la Mauritanie, d’autres pays africains, notamment l’Algérie, la Sierra Leone, le Kenya et la Libye pourraient voir les Australiens cesser leurs activités ou les céder à d’autres opérateurs.
En Mauritanie, les prévisions concernant les puits de Chinguitti tablaient sur environ 40 à 45.000 barils/jour, or ces réserves ne produisent pour l’instant que le tiers, soit 15.000 barils par jour, rapportent des publication spécialisées consultées par Ouestafnews.
Woodside auraient dépensé 100 millions de dollars ( soit un peu moins de 50 milliards de FCFA) dans des activités de recherches pétrolière en Afrique, mais ces investissements n’ont pas produits les résultats escomptés.
Don Voelte, patron de la firme, a admis que les investissements en direction de l’Afrique avaient été lancés à un moment où les difficultés étaient apparus dans la commercialisation du gaz sur les marchés internationaux, et qu’aujourd’hui les choses ont beaucoup changé pour le gaz sur ces mêmes marchés.
Outre la Mauritanie, d’autres pays africains, notamment l’Algérie, la Sierra Leone, le Kenya et la Libye pourraient voir les Australiens cesser leurs activités ou les céder à d’autres opérateurs.
En Mauritanie, les prévisions concernant les puits de Chinguitti tablaient sur environ 40 à 45.000 barils/jour, or ces réserves ne produisent pour l’instant que le tiers, soit 15.000 barils par jour, rapportent des publication spécialisées consultées par Ouestafnews.
Woodside auraient dépensé 100 millions de dollars ( soit un peu moins de 50 milliards de FCFA) dans des activités de recherches pétrolière en Afrique, mais ces investissements n’ont pas produits les résultats escomptés.
Don Voelte, patron de la firme, a admis que les investissements en direction de l’Afrique avaient été lancés à un moment où les difficultés étaient apparus dans la commercialisation du gaz sur les marchés internationaux, et qu’aujourd’hui les choses ont beaucoup changé pour le gaz sur ces mêmes marchés.
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