Par Ouestafnews
Début avril, la république islamique d’Iran a offert 1,5 million de dollars (plus de 600 millions FCFA) à la Guinée pour des travaux de reconstruction de l’édifice qui abrite son ministère des Affaires étrangères, dans le cadre de cette offensive diplomatique que certains analystes n’hésitent pas à qualifier de généreuse.
Au Sénégal pays voisin de la Guinée, le gouvernement a aussi bénéficié de cette générosité iranienne, lors de la récente organisation du sommet de la Conférence islamique (13 et 14 mars) avec un don d’une centaine de véhicules.
L’Iran qui entend nouer de fortes relations économiques avec les pays africains a d’ailleurs installé une usine de montage de véhicules au Sénégal.
Sur un plan plus symbolique, le président iranien Mahmoud Ahmedinejad avait lui-même tenu à faire le déplacement à Dakar lors de ce sommet alors que les grandes puissances du golfe arabo-persique l‘avait boycotté.
Il s’était réjoui de la qualité « amicale » des relations entre les deux pays ajoutant que « L’Iran considère le progrès et la paix de toutes les nations comme les siens propres et ne se donne pas de limites dans l’élargissement de ses liens avec d’autres pays. »
Dans une contribution au « Middle East Forum », le chercheur Michael Rubin, considère que l’Afrique sera la « prochaine frontière de l’Iran » après que la république Islamique a fini de nouer de solides liens avec l’Amérique latine, grâce notamment aux liens établis entre Ahmedinejad et le vénézuélien Hugo Chavez.
Et dans cette recherche de cette nouvelle frontière du côté de l’Afrique le Sénégal figure en bonne place, selon le chercheur qui cite les nombreux voyages officiels dans l’axe Téhéran-Dakar.
Selon le chercheur, cette offensive diplomatique va bien au delà de l’Afrique de l’ouest et s’intéresse aussi à des pays comme le Soudan ou le Zimbabwe.
Au Sénégal pays voisin de la Guinée, le gouvernement a aussi bénéficié de cette générosité iranienne, lors de la récente organisation du sommet de la Conférence islamique (13 et 14 mars) avec un don d’une centaine de véhicules.
L’Iran qui entend nouer de fortes relations économiques avec les pays africains a d’ailleurs installé une usine de montage de véhicules au Sénégal.
Sur un plan plus symbolique, le président iranien Mahmoud Ahmedinejad avait lui-même tenu à faire le déplacement à Dakar lors de ce sommet alors que les grandes puissances du golfe arabo-persique l‘avait boycotté.
Il s’était réjoui de la qualité « amicale » des relations entre les deux pays ajoutant que « L’Iran considère le progrès et la paix de toutes les nations comme les siens propres et ne se donne pas de limites dans l’élargissement de ses liens avec d’autres pays. »
Dans une contribution au « Middle East Forum », le chercheur Michael Rubin, considère que l’Afrique sera la « prochaine frontière de l’Iran » après que la république Islamique a fini de nouer de solides liens avec l’Amérique latine, grâce notamment aux liens établis entre Ahmedinejad et le vénézuélien Hugo Chavez.
Et dans cette recherche de cette nouvelle frontière du côté de l’Afrique le Sénégal figure en bonne place, selon le chercheur qui cite les nombreux voyages officiels dans l’axe Téhéran-Dakar.
Selon le chercheur, cette offensive diplomatique va bien au delà de l’Afrique de l’ouest et s’intéresse aussi à des pays comme le Soudan ou le Zimbabwe.
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