Le journaliste, "Chief" Ebrima Manneh du quotidien pro-gouvernemental gambien Daily Observer est porté "disparu" depuis près d’un an dans ce petit pays ‘Afrique de l’Ouest.
Une audience est prévue par la Cour basée à Abuja pour examiner l’affaire le 10 juillet prochain, selon le journal gambien The Point (privé), qui précise que la date coïncide, à un jour près, avec la date anniversaire de l’arrestation supposée du journaliste.
La plainte vise à obtenir du gouvernement gambien qu’il "libère" le journaliste immédiatement et qu’il lui verse des dommages et intérêts.
Après sa "disparition", des témoins avaient affirmé que Manneh a été arrêté dans les locaux de son journal par agents des forces de sécurité gambiennes habillés "en civil". Les autorités gambiennes nient toujours détenir le journaliste.
Selon l’avocat ayant introduit la plainte au nom de MFWA, celle-ci s’appuie sur les articles 4, 5 et 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples.
La Gambie est accusée par plusieurs organisations de défense des droits de l’homme de bafouer la liberté de la presse.
Depuis l’assassinat le 16 décembre 2004 de Deyda Hydara (fondateur et directeur du journal The Point) et la fermeture en mars 2005 du journal The Independent, il n’existe pratiquement plus de presse libre en Gambie et plusieurs journalistes gambiens vivent aujourd’hui en exil.(Ouestafnews)
Une audience est prévue par la Cour basée à Abuja pour examiner l’affaire le 10 juillet prochain, selon le journal gambien The Point (privé), qui précise que la date coïncide, à un jour près, avec la date anniversaire de l’arrestation supposée du journaliste.
La plainte vise à obtenir du gouvernement gambien qu’il "libère" le journaliste immédiatement et qu’il lui verse des dommages et intérêts.
Après sa "disparition", des témoins avaient affirmé que Manneh a été arrêté dans les locaux de son journal par agents des forces de sécurité gambiennes habillés "en civil". Les autorités gambiennes nient toujours détenir le journaliste.
Selon l’avocat ayant introduit la plainte au nom de MFWA, celle-ci s’appuie sur les articles 4, 5 et 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples.
La Gambie est accusée par plusieurs organisations de défense des droits de l’homme de bafouer la liberté de la presse.
Depuis l’assassinat le 16 décembre 2004 de Deyda Hydara (fondateur et directeur du journal The Point) et la fermeture en mars 2005 du journal The Independent, il n’existe pratiquement plus de presse libre en Gambie et plusieurs journalistes gambiens vivent aujourd’hui en exil.(Ouestafnews)
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