La Côte d’Ivoire essaie de se relever tant bien que mal d’une longue crise, par le biais d’un processus de réunification amorcée depuis quelques mois et supposé mettre fin à la scission du pays en deux. Cette scission dure depuis septembre 2002, date d’éclatement d’une crise politico-militaire.
« Au moment où la Côte d’Ivoire se trouve à nouveau à la croisée des chemins, il m’est un devoir d’en appeler à toutes les Ivoiriennes et à tous les Ivoiriens (…) afin qu’ils abandonnent leurs préjugés et leur esprit de clan pour songer à la seule Côte d’Ivoire, une et indivisible », affirme celui qui a été premier ministre de Côte d’Ivoire de décembre 2005 à avril 2007 avant de céder son fauteuil de PM à l’actuel chef de gouvernement Guillaume Soro, à la faveur de "l’accord politique de Ouagadougou".
Guillaume Soro a pendant les cinq dernières années régné sur le nord du pays, à la tête des Forces Nouvelles (FN, nouvelle appellation du mouvement à l’origine de la rébellion de Septembre 2002 et de ses alliés)
Banny qui en appelle à une nouvelle "société de confiance", déplore que son "beau pays se dégrade", et plaide pour qu’il retrouve son lustre d’antan.
Le contenu et le ton du message pourrait facilement conforter la thèse de ceux qui croient que Banny a toujours des ambitions présidentielles et pourrait se présenter aux prochaines élections.
Ses admirateurs le voyaient déjà comme candidat à la présidence avant son départ de la BCEAO, mais son installation au poste de Premier ministre était assortie d’une condition qui l’interdisait de se présenter.
La question refait surface au moment où le président Laurent Gbagbo a annoncé la tenue très prochainement d’élections dans le pays alors que l’ex-argentier de la sous région n’occupe plus de fonctions officielles dans son pays.
« Au moment où la Côte d’Ivoire se trouve à nouveau à la croisée des chemins, il m’est un devoir d’en appeler à toutes les Ivoiriennes et à tous les Ivoiriens (…) afin qu’ils abandonnent leurs préjugés et leur esprit de clan pour songer à la seule Côte d’Ivoire, une et indivisible », affirme celui qui a été premier ministre de Côte d’Ivoire de décembre 2005 à avril 2007 avant de céder son fauteuil de PM à l’actuel chef de gouvernement Guillaume Soro, à la faveur de "l’accord politique de Ouagadougou".
Guillaume Soro a pendant les cinq dernières années régné sur le nord du pays, à la tête des Forces Nouvelles (FN, nouvelle appellation du mouvement à l’origine de la rébellion de Septembre 2002 et de ses alliés)
Banny qui en appelle à une nouvelle "société de confiance", déplore que son "beau pays se dégrade", et plaide pour qu’il retrouve son lustre d’antan.
Le contenu et le ton du message pourrait facilement conforter la thèse de ceux qui croient que Banny a toujours des ambitions présidentielles et pourrait se présenter aux prochaines élections.
Ses admirateurs le voyaient déjà comme candidat à la présidence avant son départ de la BCEAO, mais son installation au poste de Premier ministre était assortie d’une condition qui l’interdisait de se présenter.
La question refait surface au moment où le président Laurent Gbagbo a annoncé la tenue très prochainement d’élections dans le pays alors que l’ex-argentier de la sous région n’occupe plus de fonctions officielles dans son pays.
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