Les chefs d’Etat ont également préconisé ”un renforcement de la part des Etats membres de la gestion et des réformes structurelles de leurs économies”, à l’issue de leur 35ème sommet qui s’est tenu à Abuja, indique un communiqué parvenu à OuestafNews.
Au début de la crise, plusieurs analystes avait prédit que l’Afrique pourrait être épargnée en raison de son isolement du reste de l’économie mondiale. Mais les derniers développements montrent que le continent subit également les méfaits de la crise.
”La crise économique mondiale pourrait saper le processus de redressement économique et entraîner une baisse accélérée de l’investissement direct étranger et des transferts d’argent par les travailleurs migrants ainsi que la chute des prix des matières premières, qui constituent le pilier des économies de la majeure partie des Etats membres”, avertissent les chefs d’Etat et de gouvernement de la sous région.
Dans le but de trouver une solution globale et durable aux crises, ils ont lancé un appel en faveur d’une ”gouvernance économique mondiale améliorée” et exhorté l’Afrique à s’impliquer davantage dans les initiatives mondiales en cours pour relever les défis qui se posent et prendre part également aux réunions sur des questions monétaires et de développement, mentionne le communiqué.
Ce sommet d’un jour a également approuvé les nouvelles stratégies visant à combler le déficit infrastructurel en Afrique de l’ouest afin qu’il puisse servir d’instrument pour stimuler le développement et l’intégration de la région.
Ces initiatives comprennent les plans d’action proposés par les présidents Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire et Joao Bernardo Viera de Guinée Bissau, qui appellent à des investissements massifs dans les domaines de l’énergie, de la construction des routes, des transports aérien, maritime et ferroviaire, et ce, à travers le partenariat public-privé.
A cet égard, souligne-t-on de même source, ils ont adopté le plan d’action conjoint CEDEAO/UEMOA sur les projets prioritaires régionaux ainsi que sur la création d’un Centre régional des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, qui sera basé à Praia, Cap Vert.
Ils ont, en outre, adopté la mise en place d’une Autorité régionale de régulation de l’énergie électrique de la CEDEAO, qui sera basée à Accra, et qui pourra favoriser une commercialisation accrue de l’électricité au niveau intra-communautaire, à des coûts accessibles et assurer une sécurité en matière d’approvisionnement en énergie électrique.
Les chefs d’Etat et de gouvernement ont encore approuvé la création d’une Cellule de préparation et de développement des projets (CPDP) dans la perspective de doter la CEDEAO de capacités propres à lui permettre de développer des projets bancables, à travers le secteur public ou privé ou par le biais des partenariats
Au début de la crise, plusieurs analystes avait prédit que l’Afrique pourrait être épargnée en raison de son isolement du reste de l’économie mondiale. Mais les derniers développements montrent que le continent subit également les méfaits de la crise.
”La crise économique mondiale pourrait saper le processus de redressement économique et entraîner une baisse accélérée de l’investissement direct étranger et des transferts d’argent par les travailleurs migrants ainsi que la chute des prix des matières premières, qui constituent le pilier des économies de la majeure partie des Etats membres”, avertissent les chefs d’Etat et de gouvernement de la sous région.
Dans le but de trouver une solution globale et durable aux crises, ils ont lancé un appel en faveur d’une ”gouvernance économique mondiale améliorée” et exhorté l’Afrique à s’impliquer davantage dans les initiatives mondiales en cours pour relever les défis qui se posent et prendre part également aux réunions sur des questions monétaires et de développement, mentionne le communiqué.
Ce sommet d’un jour a également approuvé les nouvelles stratégies visant à combler le déficit infrastructurel en Afrique de l’ouest afin qu’il puisse servir d’instrument pour stimuler le développement et l’intégration de la région.
Ces initiatives comprennent les plans d’action proposés par les présidents Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire et Joao Bernardo Viera de Guinée Bissau, qui appellent à des investissements massifs dans les domaines de l’énergie, de la construction des routes, des transports aérien, maritime et ferroviaire, et ce, à travers le partenariat public-privé.
A cet égard, souligne-t-on de même source, ils ont adopté le plan d’action conjoint CEDEAO/UEMOA sur les projets prioritaires régionaux ainsi que sur la création d’un Centre régional des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, qui sera basé à Praia, Cap Vert.
Ils ont, en outre, adopté la mise en place d’une Autorité régionale de régulation de l’énergie électrique de la CEDEAO, qui sera basée à Accra, et qui pourra favoriser une commercialisation accrue de l’électricité au niveau intra-communautaire, à des coûts accessibles et assurer une sécurité en matière d’approvisionnement en énergie électrique.
Les chefs d’Etat et de gouvernement ont encore approuvé la création d’une Cellule de préparation et de développement des projets (CPDP) dans la perspective de doter la CEDEAO de capacités propres à lui permettre de développer des projets bancables, à travers le secteur public ou privé ou par le biais des partenariats
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