Cette idée a été défendue lors d’une table ronde organisée au cours du Festival Clap-Ivoire d’Abidjan réservé aux courts-métrages des jeunes réalisateurs et techniciens de l’UEMOA, rapporte le quotidien sénégalais Walfadjri.
Les directeurs de la cinématographie présents à Abidjan s’engagent à s’investir pour faire appliquer la loi dans leur pays respectif, estimant qu’il est nécessaire ”d’harmoniser et d’appliquer les textes qui obligent les chaînes de télévisions africaines à diffuser les films des réalisateurs nationaux”.
Ils préconisent également l’harmonisation et l’application des textes sur la production et la circulation des images, soulignant que face à l’ampleur de la piraterie, qui porte préjudice à la création artistique cinématographique et audiovisuelle, la mise sur pied de brigades spéciales de lutte contre la piraterie dans les pays membres de l’UEMOA est souhaitée, selon la même source.
Certains pays de la sous région disposent déjà de telles brigades.
Les directeurs ont aussi recommandé qu’un accord de partenariat soit négocié avec des structures de formation aux métiers de cinéma comme l’initiative Africadoc qui s’est déjà tenu au Sénégal, Isis ou Imagine au Burkina Faso ou le Centre nationale du cinéma au Niger.
Ceci peut faire bénéficier aux récipiendaires de Clap Ivoire de stages d’initiation et de perfectionnement à l’écriture de scénario et aux différentes techniques de réalisation et de production, ont-ils souligné.
Pour la promotion des activités du festival de courts-métrages d’Abidjan, il faut l’implication des médias à grandes audiences comme le fait déjà Canal France international (CFI). Les chaînes de télévisions et stations de radios ciblées sont Radio France internationale (RFI), Tv5 Monde, BBC et Canal+ Horizon, qui a par ailleurs offert cette année trois prix.
La probblématique de la diffusion des oeuvres des réalisateurs locaux sur les écrans africains est une vieille revendication des cinéastes du continent, au delà même de la sous région ouest africaine.
Les directeurs de la cinématographie présents à Abidjan s’engagent à s’investir pour faire appliquer la loi dans leur pays respectif, estimant qu’il est nécessaire ”d’harmoniser et d’appliquer les textes qui obligent les chaînes de télévisions africaines à diffuser les films des réalisateurs nationaux”.
Ils préconisent également l’harmonisation et l’application des textes sur la production et la circulation des images, soulignant que face à l’ampleur de la piraterie, qui porte préjudice à la création artistique cinématographique et audiovisuelle, la mise sur pied de brigades spéciales de lutte contre la piraterie dans les pays membres de l’UEMOA est souhaitée, selon la même source.
Certains pays de la sous région disposent déjà de telles brigades.
Les directeurs ont aussi recommandé qu’un accord de partenariat soit négocié avec des structures de formation aux métiers de cinéma comme l’initiative Africadoc qui s’est déjà tenu au Sénégal, Isis ou Imagine au Burkina Faso ou le Centre nationale du cinéma au Niger.
Ceci peut faire bénéficier aux récipiendaires de Clap Ivoire de stages d’initiation et de perfectionnement à l’écriture de scénario et aux différentes techniques de réalisation et de production, ont-ils souligné.
Pour la promotion des activités du festival de courts-métrages d’Abidjan, il faut l’implication des médias à grandes audiences comme le fait déjà Canal France international (CFI). Les chaînes de télévisions et stations de radios ciblées sont Radio France internationale (RFI), Tv5 Monde, BBC et Canal+ Horizon, qui a par ailleurs offert cette année trois prix.
La probblématique de la diffusion des oeuvres des réalisateurs locaux sur les écrans africains est une vieille revendication des cinéastes du continent, au delà même de la sous région ouest africaine.
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