Plusieurs demandes pour l’obtention de licences d’exploration ont été soumises par des firmes étrangères à la société nationale Petroguin, a indiqué le ministre Bissau-guinéen Soares Sambu, en charge des hydrocarbures, cité par l’Agence de presse portugaise Lusa.
Le ministre s’exprimait depuis Lisbonne ou se tenait, fin août, une rencontre portant sur le secteur pétrolier bissau-guinéen.
Le ministre a refusé de se prononcer sur les commentaires faisant état de découvertes "importantes" de pétrole dans un des puits dénommé Eirozes-1, où un consortium dirigé par la firme britannique Premier Oil mène des recherches.
Selon le ministre, les informations disponibles "révèlent l’existence de pétrole" mais le problème c’est de "passer à la phase de production", pour l’instant rendue difficile par l’inexistence prouvée de pétrole en quantité et en qualité suffisante.
Les milieux pétroliers sont quelque peu sceptiques sur la rentabilité de l’exploitation du pétrole bissau-guinéen, des recherches antérieures ayant révélé la présence d’une importante quantité de souffre dans le brut bissau-guinéen. L’élimination de ce souffre induit des surcoûts dans la production, et pourrait même la rendre simplement non réalisable, selon les experts.
Toutefois le consortium dirigé par Premier Oil a affirmé qu’il continuerait ses opérations d’exploration dans le pays, même si jusque là, il n’y a encore aucun résultat probant.
Le ministre s’exprimait depuis Lisbonne ou se tenait, fin août, une rencontre portant sur le secteur pétrolier bissau-guinéen.
Le ministre a refusé de se prononcer sur les commentaires faisant état de découvertes "importantes" de pétrole dans un des puits dénommé Eirozes-1, où un consortium dirigé par la firme britannique Premier Oil mène des recherches.
Selon le ministre, les informations disponibles "révèlent l’existence de pétrole" mais le problème c’est de "passer à la phase de production", pour l’instant rendue difficile par l’inexistence prouvée de pétrole en quantité et en qualité suffisante.
Les milieux pétroliers sont quelque peu sceptiques sur la rentabilité de l’exploitation du pétrole bissau-guinéen, des recherches antérieures ayant révélé la présence d’une importante quantité de souffre dans le brut bissau-guinéen. L’élimination de ce souffre induit des surcoûts dans la production, et pourrait même la rendre simplement non réalisable, selon les experts.
Toutefois le consortium dirigé par Premier Oil a affirmé qu’il continuerait ses opérations d’exploration dans le pays, même si jusque là, il n’y a encore aucun résultat probant.
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