L’historien sénégalais Mamadou Diouf a été désigné pour diriger l’Institut d’études africaines, un département de l’Ecole des affaires internationales de l’Université de Columbia, a appris Ouestafnews de source autorisée.
La nomination de M. Diouf, chercheur et enseignant, a été annoncée par le président de l’Université de Columbia lui-même, Lee C. Bollinger, selon un communiqué parvenu à Ouestafnews.
Ancien professeur du département d’histoire de l’Université Chiekh Anta Diop de Dakar, M. Diouf poursuit depuis quelques années sa carrière d’universitaire aux Etats-Unis.
Avant sa nomination à Columbia, il était en poste à l’Université de Michigan.
Le recrutement de Mamadou Diouf entre dans le cadre de la volonté des dirigeants de l’Univeristé de Columbia de faire de leur Institut d’études africaines un pôle d’excellence dans "la recherche et l’enseignement sur l’Afrique, aussi bien en théorie qu’en pratique", a affirmé Lee C. Bollinger.
En acceptant sa nomination, l’historien sénégalais a expliuqé sa motivation par la place stratégique de Columbia qui permet de faire converger "divers acteurs intéressés par l’Afrique, (du siège) des Nations unies à Wall Street et de Harlem aux communités immigrées".
L’Université de Columbia a qualifé sa nouvelle recrue de "l’un des plus fins" connaisseurs de l’histoire de l’Afrique et des débats qui agitent ce continent à l’heure actuelle.
La nomination de M. Diouf, chercheur et enseignant, a été annoncée par le président de l’Université de Columbia lui-même, Lee C. Bollinger, selon un communiqué parvenu à Ouestafnews.
Ancien professeur du département d’histoire de l’Université Chiekh Anta Diop de Dakar, M. Diouf poursuit depuis quelques années sa carrière d’universitaire aux Etats-Unis.
Avant sa nomination à Columbia, il était en poste à l’Université de Michigan.
Le recrutement de Mamadou Diouf entre dans le cadre de la volonté des dirigeants de l’Univeristé de Columbia de faire de leur Institut d’études africaines un pôle d’excellence dans "la recherche et l’enseignement sur l’Afrique, aussi bien en théorie qu’en pratique", a affirmé Lee C. Bollinger.
En acceptant sa nomination, l’historien sénégalais a expliuqé sa motivation par la place stratégique de Columbia qui permet de faire converger "divers acteurs intéressés par l’Afrique, (du siège) des Nations unies à Wall Street et de Harlem aux communités immigrées".
L’Université de Columbia a qualifé sa nouvelle recrue de "l’un des plus fins" connaisseurs de l’histoire de l’Afrique et des débats qui agitent ce continent à l’heure actuelle.
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