Avant cette fusion le paysage bancaire burkinabé était dominé par la Banque internationale pour le commerce, l’industrie et l’artisanat (BICIA-B), filiale de la banque française BNP Paris-Bas et la Banque internationale du Burkina (BIB), rapporte l’Agence d’information du Burkina (AIB, officielle).
La directrice pour la zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine) d’Ecobank, Evelyne Tall a indiqué que cette acquisition permettra à Ecobank-Burkina de devenir le N°1 des banques au Burkina Faso.
En début août 2008, le groupe Ecobank avait racheté la Banque agricole et commerciale du Burkina à hauteur de 90% du capital, soit 8,55 milliards de F CFA.
En octobre dernier, le Groupe avait lancé une opération d’offre publique d’achat d’actions dont l’objectif était de mobiliser 2,5 milliards de dollars US, (1100 milliards de francs CFA), rappelle l’AIB.
Toutefois, les résultats de cette opération n’ont pas encore été rendus publics.
La BACB est orientée dans la micro finance, notamment le financement des activités des cotonculteurs et autres agriculteurs. La directrice pour la zone UEMOA d’Ecobank, s’est réjouie d’avoir hérité de cette clientèle.
”Nous avons essayé depuis trois ans de démocratiser la banque, d’augmenter la bancarisation de la population et le monde rural est une cible qui nous intéresse”, a soutenu Mme Tall.
La banque qui a fêté ses 20 ans en 2008, est côtée dans trois bourses ouest africaines, la Bourse du Ghana, la Bourse du Nigeria et la Bourse des valeurs mobilières (BRVM) d’Abidjan qui couvre les huit pays membres de l’UEMOA.
Dans cette dernière place financière, le titre Ecobank connaît toutefois de fortes baisses depuis le début de l’année 2009 suscitant l’inquiétude des épargnants.
Lancée à ses débuts comme une banque ouest africaine, Ecobank a désormais une ambition panafricaine qui a amorcé depuis deux ans environ son expansion vers l’Afrique de l’Est et du centre.
La directrice pour la zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine) d’Ecobank, Evelyne Tall a indiqué que cette acquisition permettra à Ecobank-Burkina de devenir le N°1 des banques au Burkina Faso.
En début août 2008, le groupe Ecobank avait racheté la Banque agricole et commerciale du Burkina à hauteur de 90% du capital, soit 8,55 milliards de F CFA.
En octobre dernier, le Groupe avait lancé une opération d’offre publique d’achat d’actions dont l’objectif était de mobiliser 2,5 milliards de dollars US, (1100 milliards de francs CFA), rappelle l’AIB.
Toutefois, les résultats de cette opération n’ont pas encore été rendus publics.
La BACB est orientée dans la micro finance, notamment le financement des activités des cotonculteurs et autres agriculteurs. La directrice pour la zone UEMOA d’Ecobank, s’est réjouie d’avoir hérité de cette clientèle.
”Nous avons essayé depuis trois ans de démocratiser la banque, d’augmenter la bancarisation de la population et le monde rural est une cible qui nous intéresse”, a soutenu Mme Tall.
La banque qui a fêté ses 20 ans en 2008, est côtée dans trois bourses ouest africaines, la Bourse du Ghana, la Bourse du Nigeria et la Bourse des valeurs mobilières (BRVM) d’Abidjan qui couvre les huit pays membres de l’UEMOA.
Dans cette dernière place financière, le titre Ecobank connaît toutefois de fortes baisses depuis le début de l’année 2009 suscitant l’inquiétude des épargnants.
Lancée à ses débuts comme une banque ouest africaine, Ecobank a désormais une ambition panafricaine qui a amorcé depuis deux ans environ son expansion vers l’Afrique de l’Est et du centre.
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