Last Updated on 26/03/2007 by Ouestafnews
Auteur de 19 buts en 26 matches en championnat, il rend au centuple la confiance que lui a manifestée son entraîneur, Juande Ramos.
Et ce week-end encore, il a permis à son équipe nationale de sauver la face en étant l’auteur du but ayant aux Aigles maliens de faire match nul (1-1a) avec le Bénin.
Aujourd’hui exit le Camerounais Samuel Eto’o et les autres grandes stars du championnat espagnol, l’une des ligues les plus relevées du monde, le Malien affole les statistiques depuis le début de la saison.
Cette réussite rejaillit sur son club qui s’est définitivement incrusté parmi les nouveaux gros bras de la Liga à côté du Barça, du Real mais aussi de Valence et autres qui illuminent les terrains européens de la ligue européenne des champions.
Né en France d’une mère française et d’un père originaire du Mali et formé à Lyon, le Malien est devenu une nouvelle icône en Andalousie surtout après avoir inscrit le 3000e but de l’histoire du FC Séville en Liga lors d’un match de championnat en décembre dernier.
Loin de lui le temps des vaches maigres et des incertitudes qu’il a connues lors de son passage dans le championnat anglais.
Parce qu’après avoir passé trois ans à Lyon, son club formateur, où il a inscrit 16 buts en 33 matches, Kanouté s’exile en Angleterre.
En choisissant de signer à West Ham, il prend un risque en quittant les feux de la rampe de Gerland pour le milieu du tableau de la Premiership même si à Lyon, il était soumis à une rude concurrence avec l’arrivée du Brésilien, Sonny Anderson, devenu la nouvelle coqueluche du championnat de France.
Le manque de médiatisation et ses statistiques en dents de scie à West Ham puis à Tottenham lui ont coûté sa place en équipe nationale de France après avoir fait ses preuves dans la sélection des Espoirs.
Mais à contrario, cela lui ouvre les ailes des Aigles du Mali qui commençaient leur reconstruction après leur demi-finale de 2002 lors de la CAN organisée à domicile.
Finalement, à la faveur des nouvelles dispositions de la FIFA qui permettait grâce à une procédure exceptionnelle, aux joueurs ayant joué dans des sélections Espoirs de pouvoir postuler dans les sélections A du pays de leur origine, il rejoint le Mali pendant la CAN 2004.
Henri Stambouli lui ouvre ainsi grandes les portes de la sélection malienne en Tunisie où il porte à lui tout seul, le Mali jusqu’aux portes des demi-finales.
Si le Mali a raté les éliminatoires de la CAN et du Mondial 2006 avec une pléiade de joueurs composée du Madrilène Mahamadou Diarra, du Lensois Seydou Keita ou du Parisien Sammy Traoré, il a l’occasion de se rattraper pour l’édition 2008 de la CAN. Et le Sévillan a lui, montré son appétit en poussant son club à lui affréter un jet privé après être resté en Espagne quelques jours de plus jouer et gagner un match de coupe du Roi contre le Bétis de Seville. Au vu du résultat, ce ne fut pas peine perdue.
Et ce week-end encore, il a permis à son équipe nationale de sauver la face en étant l’auteur du but ayant aux Aigles maliens de faire match nul (1-1a) avec le Bénin.
Aujourd’hui exit le Camerounais Samuel Eto’o et les autres grandes stars du championnat espagnol, l’une des ligues les plus relevées du monde, le Malien affole les statistiques depuis le début de la saison.
Cette réussite rejaillit sur son club qui s’est définitivement incrusté parmi les nouveaux gros bras de la Liga à côté du Barça, du Real mais aussi de Valence et autres qui illuminent les terrains européens de la ligue européenne des champions.
Né en France d’une mère française et d’un père originaire du Mali et formé à Lyon, le Malien est devenu une nouvelle icône en Andalousie surtout après avoir inscrit le 3000e but de l’histoire du FC Séville en Liga lors d’un match de championnat en décembre dernier.
Loin de lui le temps des vaches maigres et des incertitudes qu’il a connues lors de son passage dans le championnat anglais.
Parce qu’après avoir passé trois ans à Lyon, son club formateur, où il a inscrit 16 buts en 33 matches, Kanouté s’exile en Angleterre.
En choisissant de signer à West Ham, il prend un risque en quittant les feux de la rampe de Gerland pour le milieu du tableau de la Premiership même si à Lyon, il était soumis à une rude concurrence avec l’arrivée du Brésilien, Sonny Anderson, devenu la nouvelle coqueluche du championnat de France.
Le manque de médiatisation et ses statistiques en dents de scie à West Ham puis à Tottenham lui ont coûté sa place en équipe nationale de France après avoir fait ses preuves dans la sélection des Espoirs.
Mais à contrario, cela lui ouvre les ailes des Aigles du Mali qui commençaient leur reconstruction après leur demi-finale de 2002 lors de la CAN organisée à domicile.
Finalement, à la faveur des nouvelles dispositions de la FIFA qui permettait grâce à une procédure exceptionnelle, aux joueurs ayant joué dans des sélections Espoirs de pouvoir postuler dans les sélections A du pays de leur origine, il rejoint le Mali pendant la CAN 2004.
Henri Stambouli lui ouvre ainsi grandes les portes de la sélection malienne en Tunisie où il porte à lui tout seul, le Mali jusqu’aux portes des demi-finales.
Si le Mali a raté les éliminatoires de la CAN et du Mondial 2006 avec une pléiade de joueurs composée du Madrilène Mahamadou Diarra, du Lensois Seydou Keita ou du Parisien Sammy Traoré, il a l’occasion de se rattraper pour l’édition 2008 de la CAN. Et le Sévillan a lui, montré son appétit en poussant son club à lui affréter un jet privé après être resté en Espagne quelques jours de plus jouer et gagner un match de coupe du Roi contre le Bétis de Seville. Au vu du résultat, ce ne fut pas peine perdue.
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