“L’un des objectifs de la stratégie est de développer la recherche axée sur le commerce et le développement ainsi que le renforcement des capacités dans la chaîne de valeurs de l’igname», a déclaré à la presse, ce mardi 8 octobre 2013, le ministre ghanéen de l’Alimentation et de l’Agriculture, Ahmed Yakubu.
Selon lui, la demande est en constante évolution aussi bien au Ghana qu’a l’extérieur, et le gouvernement veut faire du Ghana un exportateur de produits de qualité mais aussi améliorer les conditions de vie de tous ceux qui sont actifs dans le secteur de l’igname.
La stratégie nationale pour le développement de l’igname et ses produits dérivés est une initiative public-privée entamée depuis 2012, avec le soutien technique de l’Institut internationale d’agriculture tropicale (IITA, en anglais), basé à Ibadan au Nigeria.
« Un accroissement des investissements, dans la recherche permettra de voir le vrai potentiel de l’igname qui va se traduire par plus d’emplois, des revenus conséquents pour les ménages et un renforcement de la sécurité alimentaire », indiquait un document de l’IITA consulté par Ouestafnews.
Dans le contexte actuel de lutte contre l’insécurité alimentaire, la culture des racines et des tubercules comme l’igname, le manioc, est de plus en plus recommandé par les spécialistes. Au Ghana, l’igname qui est un aliment de base, acquiert de plus en plus d’importance au plan économique à coté des cultures traditionnelles comme le cacao.
Selon l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture ( FAO), la production d’igname au Ghana est passé d’une production de 800 milles tonnes en 1990 à 5,9 tonnes en 2010 et le pays assure 94% des exportations vers les autres pays d’Afrique de l’Ouest.
Selon lui, la demande est en constante évolution aussi bien au Ghana qu’a l’extérieur, et le gouvernement veut faire du Ghana un exportateur de produits de qualité mais aussi améliorer les conditions de vie de tous ceux qui sont actifs dans le secteur de l’igname.
La stratégie nationale pour le développement de l’igname et ses produits dérivés est une initiative public-privée entamée depuis 2012, avec le soutien technique de l’Institut internationale d’agriculture tropicale (IITA, en anglais), basé à Ibadan au Nigeria.
« Un accroissement des investissements, dans la recherche permettra de voir le vrai potentiel de l’igname qui va se traduire par plus d’emplois, des revenus conséquents pour les ménages et un renforcement de la sécurité alimentaire », indiquait un document de l’IITA consulté par Ouestafnews.
Dans le contexte actuel de lutte contre l’insécurité alimentaire, la culture des racines et des tubercules comme l’igname, le manioc, est de plus en plus recommandé par les spécialistes. Au Ghana, l’igname qui est un aliment de base, acquiert de plus en plus d’importance au plan économique à coté des cultures traditionnelles comme le cacao.
Selon l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture ( FAO), la production d’igname au Ghana est passé d’une production de 800 milles tonnes en 1990 à 5,9 tonnes en 2010 et le pays assure 94% des exportations vers les autres pays d’Afrique de l’Ouest.
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