« Ces pays ont dû prendre des mesures coûteuses », a affirmé le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances Charles Koffi Diby cité par le journal béninois « L’Evénement Précis » lu par Ouestafnews.
Le ministre s’exprimait à l’ouverture du 13ème sommet des chefs d’Etat de l’Uemoa qui s’est tenu à Ouagadougou le 17 mars.
Le déficit budgétaire au sein de l’Union est à 5,7% en 2008 contre 5,1% en 2007, a indiqué le ministre ivoirien.
Il a expliqué cette situation par les « mesures budgétaires prises par les Etats pour lutter contre la cherté de la vie ».
Marquée par une flambée des prix des denrées alimentaires de première nécessité (riz, maïs, huile etc), la crise avait provoqué en 2008 des manifestations dans de nombreux pays de l’Uemoa, notamment au Bénin, Burkina Faso, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
Soumis à des révoltes populaires, qui ont fait des morts dans certains cas, plusieurs de ces pays avaient pris des mesures visant à subventionner les denrées de première nécessité ou à baisser les droits de douanes sur certains produits afin de calmer la colère des populations.
Par ailleurs, selon toujours Charles Koffi Diby, ces « fortes » tensions sur les prix des céréales ont porté le taux d’inflation dans l’Union à 7,4% en 2008 contre 2,4% en 2007.
En ce qui concerne les échanges extérieurs, il a indiqué que l’Uemoa a enregistré en 2008 un excédent global de 55,5 milliards de francs CFA, soit 12 fois moins qu’en 2007 (689,6 milliards de FCFA).
en dépit de ces difficultés, les pays de l’espace Uemoa ont enregistré une légère hausse de leur croissance économique qui s’est établi à 3,9% en 2008 contre 3,7% en 2007.
A l’issue du sommet tenu à Ouagadougou, le président Amadou Toumani Touré du Mali a été porté désigné président en exercice de l’Uemoa, qui compte huit membres : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo.
Le ministre s’exprimait à l’ouverture du 13ème sommet des chefs d’Etat de l’Uemoa qui s’est tenu à Ouagadougou le 17 mars.
Le déficit budgétaire au sein de l’Union est à 5,7% en 2008 contre 5,1% en 2007, a indiqué le ministre ivoirien.
Il a expliqué cette situation par les « mesures budgétaires prises par les Etats pour lutter contre la cherté de la vie ».
Marquée par une flambée des prix des denrées alimentaires de première nécessité (riz, maïs, huile etc), la crise avait provoqué en 2008 des manifestations dans de nombreux pays de l’Uemoa, notamment au Bénin, Burkina Faso, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
Soumis à des révoltes populaires, qui ont fait des morts dans certains cas, plusieurs de ces pays avaient pris des mesures visant à subventionner les denrées de première nécessité ou à baisser les droits de douanes sur certains produits afin de calmer la colère des populations.
Par ailleurs, selon toujours Charles Koffi Diby, ces « fortes » tensions sur les prix des céréales ont porté le taux d’inflation dans l’Union à 7,4% en 2008 contre 2,4% en 2007.
En ce qui concerne les échanges extérieurs, il a indiqué que l’Uemoa a enregistré en 2008 un excédent global de 55,5 milliards de francs CFA, soit 12 fois moins qu’en 2007 (689,6 milliards de FCFA).
en dépit de ces difficultés, les pays de l’espace Uemoa ont enregistré une légère hausse de leur croissance économique qui s’est établi à 3,9% en 2008 contre 3,7% en 2007.
A l’issue du sommet tenu à Ouagadougou, le président Amadou Toumani Touré du Mali a été porté désigné président en exercice de l’Uemoa, qui compte huit membres : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Togo.
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