«Cette situation est due à l’inadéquation des mécanismes internes et externes de contrôle, des infrastructures inadaptées et des institutions illégales et de nombreuses institutions satellites’’, a expliqué le ministre nigérian de l’Education, Sam Egwu, dans les colonnes du quotidien The Guardian lu par Ouestafnews.
Le ministre a indiqué que les problèmes de l’enseignement supérieur, dans le pays, sont nombreux et se manifestent par le bas niveau des diplômés, des infrastructures délabrées et un manque d’accès aux institutions.
Il a regretté que moins de 10 pour cent des étudiants qui se présentent au concours d’entrée à l’université sont reçus, loin des normes internationales fixées à 16 pour cent.
Ce problème d’accès à l’université est l’origine de la prolifération d’universités illégales et d’une sorte de fuite de cerveaux vers celles-ci, faisant ainsi que le niveau des diplômés est très bas.
‘’Environ 15 à 30 pour cent des infrastructures ne sont pas fonctionnelles, si elles ne sont pas obsolètes. Cela a des conséquences négatives sur la qualité des enseignements et de la recherche’’, a en outre dit le ministre nigérian.
De son côté le ministre nigérian du Travail, Adetokunbo Kayode, n’a pas manqué d’établir un lien entre ces difficultés dans la formation et les problèmes beaucoup plus généraux de développement que connaît le pays.
‘’Le problème du chômage dans le pays a toujours été un obstacle à la croissance économique et au développement, en dépit des différentes stratégies mises en place pour y faire face’’, a notamment affirmé le ministre du travail.
Le ministre a indiqué que les problèmes de l’enseignement supérieur, dans le pays, sont nombreux et se manifestent par le bas niveau des diplômés, des infrastructures délabrées et un manque d’accès aux institutions.
Il a regretté que moins de 10 pour cent des étudiants qui se présentent au concours d’entrée à l’université sont reçus, loin des normes internationales fixées à 16 pour cent.
Ce problème d’accès à l’université est l’origine de la prolifération d’universités illégales et d’une sorte de fuite de cerveaux vers celles-ci, faisant ainsi que le niveau des diplômés est très bas.
‘’Environ 15 à 30 pour cent des infrastructures ne sont pas fonctionnelles, si elles ne sont pas obsolètes. Cela a des conséquences négatives sur la qualité des enseignements et de la recherche’’, a en outre dit le ministre nigérian.
De son côté le ministre nigérian du Travail, Adetokunbo Kayode, n’a pas manqué d’établir un lien entre ces difficultés dans la formation et les problèmes beaucoup plus généraux de développement que connaît le pays.
‘’Le problème du chômage dans le pays a toujours été un obstacle à la croissance économique et au développement, en dépit des différentes stratégies mises en place pour y faire face’’, a notamment affirmé le ministre du travail.
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