
Le Cap Vert est membre de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui garantit en principe "la libre circulation des personnes et des biens" aux ressortissants des 15 pays membres à l’intérieur des frontières de la Communauté.
M. Neves, qui s’adressait à à la presse, ne s’est pas "spécifiquement" prononcé sur cet aspect de la question, selon Inforpress.
Des informations relayées depuis quelques semaines par des médias étrangers laissent entendre que le Cap vert envisagerait de demander "la suspension" du principe de libre-circulation des personnes de la CEDEAO, mais aucune source officielle n’a jusque là confirmé cette information.
Les propos du Premier ministre cap verdien interviennent au lendemain d’une réunion de deux jours tenus à Praia avec pour but d’étudier si le Cap Vert devait aller seul, ou en bloc avec les autres membres de la CEDEAO, aux réunions portant sur l’Accord de partenariat économique avec l’Union européenne.
Le Cap Vert, comme plusieurs autres pays de la Côte ouest africaine, est soumise depuis quelques mois à une forte pression des gouvernements européens, pour mettre un terme à l’émigration clandestine de leurs ressortissants attirés par l’Europe.
Cette forte pression européenne fait suite à l’arrivé depuis le début de l’année de milliers de jeunes ouest-africains sur les côtes des îles canaries (Espagne).
Selon M. Neves, des discussions sont en cours avec les pays européens pour voir le type d’aide à apporter aux pays africains, afin d ‘assurer leur développement et de mettre fin à ce phénomène tragique.
M. Neves, qui s’adressait à à la presse, ne s’est pas "spécifiquement" prononcé sur cet aspect de la question, selon Inforpress.
Des informations relayées depuis quelques semaines par des médias étrangers laissent entendre que le Cap vert envisagerait de demander "la suspension" du principe de libre-circulation des personnes de la CEDEAO, mais aucune source officielle n’a jusque là confirmé cette information.
Les propos du Premier ministre cap verdien interviennent au lendemain d’une réunion de deux jours tenus à Praia avec pour but d’étudier si le Cap Vert devait aller seul, ou en bloc avec les autres membres de la CEDEAO, aux réunions portant sur l’Accord de partenariat économique avec l’Union européenne.
Le Cap Vert, comme plusieurs autres pays de la Côte ouest africaine, est soumise depuis quelques mois à une forte pression des gouvernements européens, pour mettre un terme à l’émigration clandestine de leurs ressortissants attirés par l’Europe.
Cette forte pression européenne fait suite à l’arrivé depuis le début de l’année de milliers de jeunes ouest-africains sur les côtes des îles canaries (Espagne).
Selon M. Neves, des discussions sont en cours avec les pays européens pour voir le type d’aide à apporter aux pays africains, afin d ‘assurer leur développement et de mettre fin à ce phénomène tragique.
Voulez-vous réagir à cet article ou nous signaler une erreur ? Envoyez-nous un message à info(at)ouestaf.com.