Last Updated on 19/04/2008 by Ouestafnews
Par Ouestafnews
L’objectif est dès la prochaine campagne agricole – qui démarre avec la saison des pluies en juin ou juillet et dure trois mois environ – de produire 2 millions de tonne de maïs, 3 millions de tonne de manioc, 500 mille tonne de riz et 2 millions de tonnes de diverses autres céréales, selon l’allocution du président Wade dont copie est parvenue à Ouestafnews.
Ces chiffres semblent très ambitieux au vu de la production actuelle.
Pour le riz, principale denrée alimentaire du pays par exemple, l’actuel production locale se situe aux alentours de 200 mille tonnes, alors que 600 mille sont importées annuellement.
Le succès du programme repose, selon l’exposé fait par le président Wade sur les pluies artificielles et une grande mobilisation. Il a à cet effet demandé aux membres de son gouvernement de donner l’exemple, en cultivant chacun au moins 20 ha de terre.
Il a aussi lancé un appel aux partenaires du Sénégal pour appuyer le programme.
Ce n’est pas la première fois que le président sénégalais annonce un grand programme pour relancer l’agriculture sénégalaise, que ses opposants l’accusent d’avoir tuée depuis huit ans qu’il est au pouvoir.
Au début de son mandat, cette révolution était supposée par l’horticulture.
En 2003, il avait soudainement fixé aux paysans Sénégalais un objectif d’un million de tonnes de mais, culture qui était alors quasi-marginale Sénégal. L’objectif n’avait pas été atteint, et les récoltes avaient été jugées de mauvaise qualité par les paysans.
Plus récemment encore, confronté à un exode massif des jeunes, il avait lancé le Plan REVA (Retour vers l’agriculture) pour tenter de dissuader ces jeunes de se lancer dans l’émigration clandestine par des traversées mortelles de l’Atlantique.
Dans son discours annonçant, la Goana, il n’a fait aucune allusion à ce programme, qui avait également pour objectif de relancer l’agriculture et de redonner espoir à la jeunesse de son pays.
Ces chiffres semblent très ambitieux au vu de la production actuelle.
Pour le riz, principale denrée alimentaire du pays par exemple, l’actuel production locale se situe aux alentours de 200 mille tonnes, alors que 600 mille sont importées annuellement.
Le succès du programme repose, selon l’exposé fait par le président Wade sur les pluies artificielles et une grande mobilisation. Il a à cet effet demandé aux membres de son gouvernement de donner l’exemple, en cultivant chacun au moins 20 ha de terre.
Il a aussi lancé un appel aux partenaires du Sénégal pour appuyer le programme.
Ce n’est pas la première fois que le président sénégalais annonce un grand programme pour relancer l’agriculture sénégalaise, que ses opposants l’accusent d’avoir tuée depuis huit ans qu’il est au pouvoir.
Au début de son mandat, cette révolution était supposée par l’horticulture.
En 2003, il avait soudainement fixé aux paysans Sénégalais un objectif d’un million de tonnes de mais, culture qui était alors quasi-marginale Sénégal. L’objectif n’avait pas été atteint, et les récoltes avaient été jugées de mauvaise qualité par les paysans.
Plus récemment encore, confronté à un exode massif des jeunes, il avait lancé le Plan REVA (Retour vers l’agriculture) pour tenter de dissuader ces jeunes de se lancer dans l’émigration clandestine par des traversées mortelles de l’Atlantique.
Dans son discours annonçant, la Goana, il n’a fait aucune allusion à ce programme, qui avait également pour objectif de relancer l’agriculture et de redonner espoir à la jeunesse de son pays.
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