Le 15 novembre, selon un communiqué reçu par Ouestafnews, El hadj Daouda Faye, minsitre des Sports annonce avoir retiré la délégation de pouvoirs qu’il avait concédée à la Fédération sénégalaise de football (FSF), suite à des ‘’manquements graves".
Une décision vite interprétée comme la fin de l’existence légale de l’actuelle instance dirigeante du football sénégalais.
Les milieux sportifs sont partagés sur le bien fondé, la légalité et l’opportunité d’une telle décision.
Selon un des défenseurs du camp ministériel, interrogé par le Radio télévision sénégalaise (RTS, publique), Mamadou Tidiane Kane, ‘’ce retrait de délégation de pouvoirs est une suite logique de l’intransigeance des responsables de la FSF qui ont mis sur pied des textes qui sont contraires au droit positif sénégalais’’.
Du côté de la Fédération, on assimile au contraire la décision du ministre à une ingérence .
Réuni jeudi à son siège, le bureau fédéral qui vient à peine d’être élu le 4 novembre dernier, a annoncé par la voix de son porte-parole, Mbacké Seck qu’elle poursuivra ses activités conformément à son calendrier préalablement fixé et ce jusqu’à samedi prochain (18 novembre) où se réunira son comité directeur.
Ce retrait de la délégation est l’aboutissement d’une crise qui dure depuis plus d’une année et qui s’est articulé autour de la mise en place des nouveaux statuts de la FSF en conformité avec les statuts standard de la Fédération internationale de football (FIFA) en mai dernier.
Ces nouveaux statuts mettent fin à la cooptation qui permettait à la tutelle de mettre à la disposition de l’instance dirigeante du football sénégalais des personnes ressources.
Les deux structures sont d’ailleurs convoquées à Zurich (Suisse) le 3 décembre prochain pour être entendu par l’instance dirigeante du football mondial dirigée par Sepp Blatter et en présence d’Issa Hayatou, le président de la Confédération africaine de football.
Une décision vite interprétée comme la fin de l’existence légale de l’actuelle instance dirigeante du football sénégalais.
Les milieux sportifs sont partagés sur le bien fondé, la légalité et l’opportunité d’une telle décision.
Selon un des défenseurs du camp ministériel, interrogé par le Radio télévision sénégalaise (RTS, publique), Mamadou Tidiane Kane, ‘’ce retrait de délégation de pouvoirs est une suite logique de l’intransigeance des responsables de la FSF qui ont mis sur pied des textes qui sont contraires au droit positif sénégalais’’.
Du côté de la Fédération, on assimile au contraire la décision du ministre à une ingérence .
Réuni jeudi à son siège, le bureau fédéral qui vient à peine d’être élu le 4 novembre dernier, a annoncé par la voix de son porte-parole, Mbacké Seck qu’elle poursuivra ses activités conformément à son calendrier préalablement fixé et ce jusqu’à samedi prochain (18 novembre) où se réunira son comité directeur.
Ce retrait de la délégation est l’aboutissement d’une crise qui dure depuis plus d’une année et qui s’est articulé autour de la mise en place des nouveaux statuts de la FSF en conformité avec les statuts standard de la Fédération internationale de football (FIFA) en mai dernier.
Ces nouveaux statuts mettent fin à la cooptation qui permettait à la tutelle de mettre à la disposition de l’instance dirigeante du football sénégalais des personnes ressources.
Les deux structures sont d’ailleurs convoquées à Zurich (Suisse) le 3 décembre prochain pour être entendu par l’instance dirigeante du football mondial dirigée par Sepp Blatter et en présence d’Issa Hayatou, le président de la Confédération africaine de football.
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