
«Le 1er novembre 2009 (…), nous vous annoncions à travers Vision 21, notre volonté de faire du Fespaco une institution forte et dynamique, par la création et l’organisation de plusieurs manifestations cinématographiques. Aujourd’hui, le temps de la concrétisation a sonné», a renchéri le responsable du Fespaco, un festival considéré comme le plus grand évènement cinématographique en Afrique et qui se tient tous les deux ans à Ouagadougou.
Pour M. Ouédraogo, les JCFA ne sont pas un « festival de plus », mais une continuité de la biennale du Fespaco qui s’enrichit et se renforce avec une manifestation spécifique réservée aux femmes professionnelles de l’image.
Les JCFA 2010 se dérouleront sous forme de gala de promotion où toutes les participantes de la sélection officielle recevront des trophées de participation, dénommés Saraouini.
Pour cette première édition, six (6) longs-métrages, sept (7) courts-métrages, quatorze (14) documentaires et quatre (4) séries Tv seront à l’affiche. Le thème retenu est « Femme et cinéma Africain ».
Des rencontres professionnelles seront organisées en marge de la manifestation et porteront sur « Image et identité féminines en Afrique, 15 ans après Beijing : quelle a été la contribution de la femme de l’image et quelles perspectives ? »
Les réalisatrices attendues pour cette toute première édition viendront de l’Algérie, du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de l’Egypte, du Mali, du Gabon, de la R.D Congo, du Sénégal, du Togo, de la Tunisie, du Gabon, du Sénégal,
Selon des informations fournies par les médias burkinabé, les JCFA alterneront désormais régulièrement avec le Fespaco, dont la prochaine édition est prévue en 2011.
Le Japon et l’Inde sont invités les pays invités et seront présents avec un total de six (6) films.
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