La création de cette deuxième zone monétaire, qui devrait regrouper des pays ouest africains non-membres de la zone CFA, était prévue pour janvier 2010. Elle a été repoussée à juin 2014, selon un communiqué parvenu à Ouestafnews.
Le président nigérian Alhaji Umaru Musa Yar’Adua qui a présidé la rencontre en présence de plusieurs de ses homologues, a déclaré que la volonté collective de la Zmao est « d’aller de l’avant pour l’introduction de la monnaie commune » Ouest africaine. Toutefois, a-t-il ajouté, la capacité des Etats membres à remplir, individuellement et collectivement, les critères de convergence « subit actuellement les contraintes liées à la crise économique et financière mondiale ».
Les participants ont néanmoins exprimé leur engagement pour la création de l’union monétaire de la Zmao qui constitue « un pas important vers la création de la Zone monétaire unique de la Cedeao », la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
Lors de la rencontre, les chefs d’Etat se sont engagés à réaliser la stabilité et la convergence macroéconomiques, conditions nécessaires pour le lancement de l’union monétaire de la Zmao, tout en rappelant que les Etats membres sont tenus également de « procéder rapidement à la ratification des instruments juridiques de la Zmao, qui doit être achevée avant la fin de juin 2013 ».
Depuis plusieurs années, la Cedeao travaille à l’avènement d’une monnaie commune à l’ensemble des 15 pays membres de la sous région. Mais, un des préalables à cette ultime étape dans la voie de l’union monétaire est la création d’une deuxième zone monétaire couvrant les pays situés en dehors de la zone CFA. Les deux zones coexisteraient pendant une phase transitoire avant de se fondre en une seule.
La zone CFA est composée de huit pays, toutes d’anciennes colonies françaises à l’exception de la Guinée Bissau, ex-colonie portugaise.
La Zmao quant à elle devrait comprendre le Nigeria, la Gambie, la Guinée, la Sierra Leone et le Ghana.
Le président nigérian Alhaji Umaru Musa Yar’Adua qui a présidé la rencontre en présence de plusieurs de ses homologues, a déclaré que la volonté collective de la Zmao est « d’aller de l’avant pour l’introduction de la monnaie commune » Ouest africaine. Toutefois, a-t-il ajouté, la capacité des Etats membres à remplir, individuellement et collectivement, les critères de convergence « subit actuellement les contraintes liées à la crise économique et financière mondiale ».
Les participants ont néanmoins exprimé leur engagement pour la création de l’union monétaire de la Zmao qui constitue « un pas important vers la création de la Zone monétaire unique de la Cedeao », la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
Lors de la rencontre, les chefs d’Etat se sont engagés à réaliser la stabilité et la convergence macroéconomiques, conditions nécessaires pour le lancement de l’union monétaire de la Zmao, tout en rappelant que les Etats membres sont tenus également de « procéder rapidement à la ratification des instruments juridiques de la Zmao, qui doit être achevée avant la fin de juin 2013 ».
Depuis plusieurs années, la Cedeao travaille à l’avènement d’une monnaie commune à l’ensemble des 15 pays membres de la sous région. Mais, un des préalables à cette ultime étape dans la voie de l’union monétaire est la création d’une deuxième zone monétaire couvrant les pays situés en dehors de la zone CFA. Les deux zones coexisteraient pendant une phase transitoire avant de se fondre en une seule.
La zone CFA est composée de huit pays, toutes d’anciennes colonies françaises à l’exception de la Guinée Bissau, ex-colonie portugaise.
La Zmao quant à elle devrait comprendre le Nigeria, la Gambie, la Guinée, la Sierra Leone et le Ghana.
Vous voulez réagir à cet article ou nous signaler une erreur, envoyez nous un mail à info[@]ouestaf.com