Par Ouestafnews
Réunis à l’initiative de l’association ‘’La maison de la parole’’, cette manifestation, première du genre, regroupe 13 administrateurs culturels du Burkina, du Mali et du Niger autour de deux thèmes, à savoir : «Quel type d’événements et d’actions culturels ?» et «Comment mutualiser les actions». Les objectifs visés sont de « dresser un arbre à problème, un arbre à objectifs et un répertoire de festivals, structures et acteurs de l’oralité » dans ces trois pays, rapporte l’Agence d’information de Burkina (AIB, officielle).
Cette rencontre permettra également de faciliter la circulation des conteurs et acteurs de l’oralité au Burkina, au Mali et au Niger. Mieux, a précisé le président de l’association «La Maison de la parole», Hassane Kouyaté, les participants vont élaborer un projet commun ‘’avec nos différences’’ dans le but de mettre en route un événement triennal, a-t-il insisté.
La rencontre de Bobo-Dioulasso se tient avec le soutien d’Africalia, une structure belge qui appuie les activités culturelles en Afrique.
Les structures qui prennent part à la rencontre de Bobo-Dioulasso sont l’association ‘’ La maison de la parole », la compagnie théâtrale « Le Roseau », l’association « Anséko », le théâtre des enfants du « Wamdé », l’association des conteurs de Bobo-Dioulasso « Les conteurs de la source », l’association des conteurs de Ouagadougou « A l’école des ancêtres » , la compagnie théâtre de l’avenir « Contépique » du Burkina, « Acte 7 », « Balanis » du Mali, les festivals « Gatan-Gatan », « Parole de sable » et « Paroles de femmes » du Niger.
Expression artistique jadis très présente dans le folkore et la vie familiale en Afrique le conte a été presque anéanti par les nouveaux médias (surtout la télévision) qui occupent tout l’espace qui lui était consacré au sein des familles et des sociétés.
Par delà son caractère ludique, le conte avait une fonction pédagogique et servait de vecteur de socialisation et de moralisation pour enfants et adolescents avant qu’ils n’affrontent les réalités de la vie publique.
Cette rencontre permettra également de faciliter la circulation des conteurs et acteurs de l’oralité au Burkina, au Mali et au Niger. Mieux, a précisé le président de l’association «La Maison de la parole», Hassane Kouyaté, les participants vont élaborer un projet commun ‘’avec nos différences’’ dans le but de mettre en route un événement triennal, a-t-il insisté.
La rencontre de Bobo-Dioulasso se tient avec le soutien d’Africalia, une structure belge qui appuie les activités culturelles en Afrique.
Les structures qui prennent part à la rencontre de Bobo-Dioulasso sont l’association ‘’ La maison de la parole », la compagnie théâtrale « Le Roseau », l’association « Anséko », le théâtre des enfants du « Wamdé », l’association des conteurs de Bobo-Dioulasso « Les conteurs de la source », l’association des conteurs de Ouagadougou « A l’école des ancêtres » , la compagnie théâtre de l’avenir « Contépique » du Burkina, « Acte 7 », « Balanis » du Mali, les festivals « Gatan-Gatan », « Parole de sable » et « Paroles de femmes » du Niger.
Expression artistique jadis très présente dans le folkore et la vie familiale en Afrique le conte a été presque anéanti par les nouveaux médias (surtout la télévision) qui occupent tout l’espace qui lui était consacré au sein des familles et des sociétés.
Par delà son caractère ludique, le conte avait une fonction pédagogique et servait de vecteur de socialisation et de moralisation pour enfants et adolescents avant qu’ils n’affrontent les réalités de la vie publique.
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