Lors d’une conférence de presse tenue le même jour en début de matinée, M. Ndong avait démenti, l’annonce de la mort de Bongo relayée dimanche en début de soirée par les médias français, en affirmant que le président est ‘’bien en vie’’.
A Libreville, la capitale du pays, les autorités ont décrété un deuil national de 30 jours, rapportent les agences de presse internationales consultées par Ouestafnews. Selon la Constitution, c’est le président du Sénat qui assure l’intérim devant conduire à une élection dans les 45 jours.
Depuis le 11 mai 2009, le président gabonais est hospitalisé dans un état grave mais stationnaire en Espagne. Omar Bongo faisait simplement un bilan de santé, selon la présidence gabonaise, alors que plusieurs sources l’annonçaient atteint ‘’d’un cancer des intestins’’.
Le 6 mai dernier, Bongo avait annoncé cesser "momentanément" ses activités liées à sa fonction de chef d’Etat pour ‘’se reposer’’, selon le porte-parole de la présidence de la République.
A la tête du Gabon depuis 42 ans, Oumar Bongo Ondimba, était le doyen des chefs d’Etat africains. Il est considéré comme l’un des principaux relais de la "Françafrique". ‘’L’Afrique sans la France, c’est la voiture sans le chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant’’, aimait-il dire.
On se rappelle qu’il avait demandé et obtenu la tête de Jean-Marie Bockel, ministre français de la Coopération, lorsqu’il avait demandé ‘’la mort de la Françafrique’’. Ce n’est pas un hasard si le président Nicolas Sarkozy a salué ‘’un ami fidèle de la France’’, en réaction à la disparition de Bongo.
Oumar Bongo était également impliqué dans la résolution de plusieurs crises sur le continent, notamment en Afrique Centrale (Congo Brazzaville et Centrafrique).
En Afrique de l’ouest, on cite parmi ses ami l’ancien président sénégalais Abdou Diouf, l’actuel président du Burkina Faso Blaise Compaoré ainsi que l’opposant ivoirien Alassane Ouattara. A Dakar, dans un communiqué, le président Abdoulaye Wade a appris avec ”une vice émotion la triste nouvelle du décès de son ami et frère”.
Pour leur part, les Béninois se souviendront de Bongo comme du complice de l’agression armée des mercenaires dirigés par le Français Bob Denard le 16 janvier 1977, sous le régime du général Mathieu Kérékou.
A Libreville, la capitale du pays, les autorités ont décrété un deuil national de 30 jours, rapportent les agences de presse internationales consultées par Ouestafnews. Selon la Constitution, c’est le président du Sénat qui assure l’intérim devant conduire à une élection dans les 45 jours.
Depuis le 11 mai 2009, le président gabonais est hospitalisé dans un état grave mais stationnaire en Espagne. Omar Bongo faisait simplement un bilan de santé, selon la présidence gabonaise, alors que plusieurs sources l’annonçaient atteint ‘’d’un cancer des intestins’’.
Le 6 mai dernier, Bongo avait annoncé cesser "momentanément" ses activités liées à sa fonction de chef d’Etat pour ‘’se reposer’’, selon le porte-parole de la présidence de la République.
A la tête du Gabon depuis 42 ans, Oumar Bongo Ondimba, était le doyen des chefs d’Etat africains. Il est considéré comme l’un des principaux relais de la "Françafrique". ‘’L’Afrique sans la France, c’est la voiture sans le chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant’’, aimait-il dire.
On se rappelle qu’il avait demandé et obtenu la tête de Jean-Marie Bockel, ministre français de la Coopération, lorsqu’il avait demandé ‘’la mort de la Françafrique’’. Ce n’est pas un hasard si le président Nicolas Sarkozy a salué ‘’un ami fidèle de la France’’, en réaction à la disparition de Bongo.
Oumar Bongo était également impliqué dans la résolution de plusieurs crises sur le continent, notamment en Afrique Centrale (Congo Brazzaville et Centrafrique).
En Afrique de l’ouest, on cite parmi ses ami l’ancien président sénégalais Abdou Diouf, l’actuel président du Burkina Faso Blaise Compaoré ainsi que l’opposant ivoirien Alassane Ouattara. A Dakar, dans un communiqué, le président Abdoulaye Wade a appris avec ”une vice émotion la triste nouvelle du décès de son ami et frère”.
Pour leur part, les Béninois se souviendront de Bongo comme du complice de l’agression armée des mercenaires dirigés par le Français Bob Denard le 16 janvier 1977, sous le régime du général Mathieu Kérékou.
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