Par Ouestafnews
Réunis au Burkina faso, ces transporteurs qui ont mis sur pied un réseau destiné à faire face à la lutte contre ce fléau, ont aussi souhaité la mise en place d’un système d’alerte opérationnel ainsi que l’échange d’informations et d’expériences, selon l’Agence Burkinabé d’Information (AIB; officielle).
Ces décisions ont été annoncées à l’occasion d’une rencontre à Ouagadougou ayant regroupé les syndicats nationaux des transporteurs routiers et voyageurs du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de la Guinée , du Mali, du Nigeria et du Togo.
La traite des enfants est un fléau qui sévit de manère endémique en Afrique de l’ouest, selon plusieurs organisations humanitaires. Le Mali et le Burkina Faso sont deux des pays parmi les plus touchés par le phénomène.
Selon un rapport de l’UNICEF, plus de 30 pour cent des enfants victimes de la traite, soit près de 400.000 enfants sur les 1,2 millions d’enfants recensés dans le monde viennent d’Afrique de l’Ouest et du Centre
Ces décisions ont été annoncées à l’occasion d’une rencontre à Ouagadougou ayant regroupé les syndicats nationaux des transporteurs routiers et voyageurs du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de la Guinée , du Mali, du Nigeria et du Togo.
La traite des enfants est un fléau qui sévit de manère endémique en Afrique de l’ouest, selon plusieurs organisations humanitaires. Le Mali et le Burkina Faso sont deux des pays parmi les plus touchés par le phénomène.
Selon un rapport de l’UNICEF, plus de 30 pour cent des enfants victimes de la traite, soit près de 400.000 enfants sur les 1,2 millions d’enfants recensés dans le monde viennent d’Afrique de l’Ouest et du Centre
Voulez-vous réagir à cet article ou nous signaler une erreur ? Envoyez-nous un message à info(at)ouestaf.com.