Toutes les parties prenantes à ces élections "doivent être conscients des grandes attentes que l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique et le monde en général placent dans le processus électoral en cours", affirme la CEDEAO dans un communiqué parvenu à Ouestafnews.
L’organisation sous régionale ouest africaine appelle les leaders politiques à éviter "tout acte ou discours pouvant attiser les tensions ou causer des violences".
Depuis plus d’un an, la vie politique nigériane est marquée par les tensions pré-électorales avec en ligne de mire le poste de président de la république du géant ouesta africain, le chef de l’Etat sortant, Olusegun Obasanjo, ayant épuisé ses deux mandats.
Ses partisans ont pendant un moment agité l’idée de faire modifier la constitution pour le rendre éligible à un troisième mandat, mais ils ont dû par la suite céder face aux pressions de ses adversaires et des militants des droits de l’homme, appuyés par la presse.
Depuis, ses propres partisans et lui-même ne cessent de multiplier les attaques et les accusations contre le vice-président Atiku Abubakar, candidat déclaré à la présidentielle.
L’élection nigériane se déroule sur fond de violence dans la région du Delta du Niger, où des bandes armées procèdent depuis des mois à des prises d’otages et à des attaques armées contre les employés et les installations pétrolières des grandes firmes pétrolières étrangères, en réclament leur part des richesses pétrolières du pays.
La Cedeao, dont le siège se trouve à Abuja, la capitale fédérale nigériane, a décidé d’envoyer dans le pays une mission d’observateurs pendant la période électorale.
Déjà, une première délégation dirigée par l’ex-président gambien Dawda Jawara avait été dépêchée pour évaluer la phase des préparatifs de l’organisation sous-régionale, selon la Cedeao.
L’organisation sous régionale ouest africaine appelle les leaders politiques à éviter "tout acte ou discours pouvant attiser les tensions ou causer des violences".
Depuis plus d’un an, la vie politique nigériane est marquée par les tensions pré-électorales avec en ligne de mire le poste de président de la république du géant ouesta africain, le chef de l’Etat sortant, Olusegun Obasanjo, ayant épuisé ses deux mandats.
Ses partisans ont pendant un moment agité l’idée de faire modifier la constitution pour le rendre éligible à un troisième mandat, mais ils ont dû par la suite céder face aux pressions de ses adversaires et des militants des droits de l’homme, appuyés par la presse.
Depuis, ses propres partisans et lui-même ne cessent de multiplier les attaques et les accusations contre le vice-président Atiku Abubakar, candidat déclaré à la présidentielle.
L’élection nigériane se déroule sur fond de violence dans la région du Delta du Niger, où des bandes armées procèdent depuis des mois à des prises d’otages et à des attaques armées contre les employés et les installations pétrolières des grandes firmes pétrolières étrangères, en réclament leur part des richesses pétrolières du pays.
La Cedeao, dont le siège se trouve à Abuja, la capitale fédérale nigériane, a décidé d’envoyer dans le pays une mission d’observateurs pendant la période électorale.
Déjà, une première délégation dirigée par l’ex-président gambien Dawda Jawara avait été dépêchée pour évaluer la phase des préparatifs de l’organisation sous-régionale, selon la Cedeao.
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