Au-delà des sans abris, les fortes pluies se sont abattues, ces derniers jours dans la capitale burkinabé, ayant occasionné des pertes en vies humaines et de nombreux dégâts matériels.
Devant l’ampleur du sinistre, le président Balise Compaoré a lancé, le lundi 7 septembre, un appel à la solidarité nationale et internationale, pour reconstruire les infrastructures détruites.
« Les organisations internationales et interafricaines, ainsi que les pays amis du Burkina Faso ne sont pas restés insensibles à l’appel à la solidarité du pays » rapporte le journal gouvernemental Sidwaya consulté par Ouestafnews.
L’Uemoa a ainsi débloqué 250 millions FCFA et les Nations Unies plus de 376 millions FCA, selon la même source.
Interrogé par Sidwaya, le Premier ministre Tertius Zongo, indiqué que les besoins de reconstruction et la réhabilitation des infrastructures endommagées sont estimés, à titre provisoire, à environ 70 milliards de francs. Le volet humanitaire requiert à lui seul, 7 milliards de francs.
Environ un milliard de FCFA ont été récoltés grâce à la manifestation de solidarité, présidée le même jour par le chef de l’Etat.
En plus de la contribution du président Compaoré, les membres du gouvernement ont remis plus de 23 millions, représentant le cumul des salaires mensuels de chacun. Pour leur part, les élus nationaux ont consenti chacun 150.000 francs.
En dehors du Burkina Faso, l’un des pays le plus touchés, plusieurs autres pays de l’Afrique de l’Ouest ont été ces dernières semaines victimes d’inondations, consécutives à de fortes pluies. Il en est ainsi de la Mauritanie, du Sénégal, du Niger, de la Guinée, de la Sierra Leone.
Au tout début de la saison hivernale, le Togo avait été également été par le même phénomène.
Selon des chiffres fournis par les Nations Unies, sur l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest, ce sont au total 600.000 personnes qui sont victimes de dernières pluies diluviennes qui ont aussi occasionné de graves dégâts matériels, et tué au moins 150 personnes dont plus de 100 en Sierra Leone.
Devant l’ampleur du sinistre, le président Balise Compaoré a lancé, le lundi 7 septembre, un appel à la solidarité nationale et internationale, pour reconstruire les infrastructures détruites.
« Les organisations internationales et interafricaines, ainsi que les pays amis du Burkina Faso ne sont pas restés insensibles à l’appel à la solidarité du pays » rapporte le journal gouvernemental Sidwaya consulté par Ouestafnews.
L’Uemoa a ainsi débloqué 250 millions FCFA et les Nations Unies plus de 376 millions FCA, selon la même source.
Interrogé par Sidwaya, le Premier ministre Tertius Zongo, indiqué que les besoins de reconstruction et la réhabilitation des infrastructures endommagées sont estimés, à titre provisoire, à environ 70 milliards de francs. Le volet humanitaire requiert à lui seul, 7 milliards de francs.
Environ un milliard de FCFA ont été récoltés grâce à la manifestation de solidarité, présidée le même jour par le chef de l’Etat.
En plus de la contribution du président Compaoré, les membres du gouvernement ont remis plus de 23 millions, représentant le cumul des salaires mensuels de chacun. Pour leur part, les élus nationaux ont consenti chacun 150.000 francs.
En dehors du Burkina Faso, l’un des pays le plus touchés, plusieurs autres pays de l’Afrique de l’Ouest ont été ces dernières semaines victimes d’inondations, consécutives à de fortes pluies. Il en est ainsi de la Mauritanie, du Sénégal, du Niger, de la Guinée, de la Sierra Leone.
Au tout début de la saison hivernale, le Togo avait été également été par le même phénomène.
Selon des chiffres fournis par les Nations Unies, sur l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest, ce sont au total 600.000 personnes qui sont victimes de dernières pluies diluviennes qui ont aussi occasionné de graves dégâts matériels, et tué au moins 150 personnes dont plus de 100 en Sierra Leone.
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