M. Mbengue s’exprimait à la veille des « deuxièmes rencontres professionnelles » prévues à Dakar le 17 et 18 janvier 2009 et auxquelles sont attendus près d’une quinzaine de participants en provenance d’une douzaine de pays d’Afrique francophone, dont la plupart en Afrique de l’Ouest.
Selon une note transmise à la presse par les organisateurs, ces rencontres de Dakar, sont organisées par le réseau Afric’arthéâtre, définie comme « une initiative des lieux et des structures de diffusion théâtrale en Afrique » et représentée dans la douzaine de pays d’où viendront les délégués.
« Nous voulons parvenir à parler d’une même voix en Afrique auprès des partenaires et des bailleurs de fonds », a expliqué M. Mbengue selon qui, à l’exception de quelques rares pays comme le Burkina Faso ou le Bénin, le théâtre reste le parent pauvre des politiques culturelles africaines, avec dans la plupart des pays concernés, un manque criard d’infrastructures et d’activités pouvant aider à la promotion du théâtre.
L’exemple burkinabé est souvent cité en exemple, et dans un entretien accordé au magazine en ligne webthea en 2006, le metteur en scène togolais Banissa Méwé, reconnaissait que le Burkina Faso avait une longueur d’avance sur son propre pays et la plupart des autres pays de la sous région.
« Certains pays sont mieux représentés au niveau théâtral. Le Burkina Faso, par exemple, dispose de plusieurs troupes mais également de plusieurs lieux de représentations », disait notamment le metteur en scène plusieurs fois primés dans des festivals.
L’autre exemple cité par les professionnels du théâtre eux même c’est le Bénin, pays qui a su institutionnaliser sont Festival International du Théâtre avec un appui assez significatif de l‘Etat, devenant ainsi un évènement couru par les hommes de l’art.
La réunion de Dakar, qui vient après celle de Bamako organisée en novembre 2006, devrait permettre de formaliser le réseau afric’arthéâtre, de lancer ensuite des « projets globaux » pour la période 2009-2011 et enfin d’identifier quelques acteurs pour leur confier des « missions » spécifiques en direction des partenaires.
Selon le texte remis à la presse, les travaux de Bamako avait permis de jeter « les bases d’un circuit de diffusion fiable ». C’est ce travail que les acteurs et promoteurs présents à Dakar tenteront de consolider en même temps qu’ils vont évoquer « la problématique du financement du théâtre en Afrique, de la qualité (des) créations, de la formation ainsi que de la cartographie des lieux ».
Prendront part aux rencontres de Dakar des délégués venus du Bénin, du Mali, du Sénégal, de la Mauritanie, du Togo, de la Guinée, de la Côte-d’Ivoire, du Burkina Faso, de la République du Congo, du Cameroun, du Maroc, de la Tunisie et du Niger.
Selon une note transmise à la presse par les organisateurs, ces rencontres de Dakar, sont organisées par le réseau Afric’arthéâtre, définie comme « une initiative des lieux et des structures de diffusion théâtrale en Afrique » et représentée dans la douzaine de pays d’où viendront les délégués.
« Nous voulons parvenir à parler d’une même voix en Afrique auprès des partenaires et des bailleurs de fonds », a expliqué M. Mbengue selon qui, à l’exception de quelques rares pays comme le Burkina Faso ou le Bénin, le théâtre reste le parent pauvre des politiques culturelles africaines, avec dans la plupart des pays concernés, un manque criard d’infrastructures et d’activités pouvant aider à la promotion du théâtre.
L’exemple burkinabé est souvent cité en exemple, et dans un entretien accordé au magazine en ligne webthea en 2006, le metteur en scène togolais Banissa Méwé, reconnaissait que le Burkina Faso avait une longueur d’avance sur son propre pays et la plupart des autres pays de la sous région.
« Certains pays sont mieux représentés au niveau théâtral. Le Burkina Faso, par exemple, dispose de plusieurs troupes mais également de plusieurs lieux de représentations », disait notamment le metteur en scène plusieurs fois primés dans des festivals.
L’autre exemple cité par les professionnels du théâtre eux même c’est le Bénin, pays qui a su institutionnaliser sont Festival International du Théâtre avec un appui assez significatif de l‘Etat, devenant ainsi un évènement couru par les hommes de l’art.
La réunion de Dakar, qui vient après celle de Bamako organisée en novembre 2006, devrait permettre de formaliser le réseau afric’arthéâtre, de lancer ensuite des « projets globaux » pour la période 2009-2011 et enfin d’identifier quelques acteurs pour leur confier des « missions » spécifiques en direction des partenaires.
Selon le texte remis à la presse, les travaux de Bamako avait permis de jeter « les bases d’un circuit de diffusion fiable ». C’est ce travail que les acteurs et promoteurs présents à Dakar tenteront de consolider en même temps qu’ils vont évoquer « la problématique du financement du théâtre en Afrique, de la qualité (des) créations, de la formation ainsi que de la cartographie des lieux ».
Prendront part aux rencontres de Dakar des délégués venus du Bénin, du Mali, du Sénégal, de la Mauritanie, du Togo, de la Guinée, de la Côte-d’Ivoire, du Burkina Faso, de la République du Congo, du Cameroun, du Maroc, de la Tunisie et du Niger.
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