Cette offensive diplomatique a visé en priorité les ambassadeurs des pays « arabes », selon la liste des audiences rendues publiques par l’agence mauritanienne d’information (AMI, officielle), depuis l’annonce des résultats de la présidentielle du 18 juillet.
Alors qu’une partie de l’opposition conteste encore sa victoire, l’accusant de fraude, l’ancien général qui a démissionné de l’armée (pour présenter sa candidature à la présidentielle) utilisant son nouveau titre de « président élu », a notamment rencontré les ambassadeurs saoudien, yéménite, irakien, accrédités à Nouakchott.
Parmi les ambassadeurs qu’Ould Abdel Aziz a reçus figurent aussi ceux du Qatar, du Soudan et de Libye ainsi qu’une délégation d’observateurs électoraux envoyés par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour suivre la présidentielle. .
Selon les analystes, ces audiences visent à obtenir une « reconnaissance internationale » et à isoler très vite de la scène internationale les opposants qui tentent de remettre en cause la légitimité du scrutin du 18 juillet.
Lors de cette élection, Ould Abdel Aziz, auteur du coup d’état militaire du 6 août 2008 qui a renversé le président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi (premier président démocratiquement élu de Mauritanie) faisait face à plusieurs candidats et à un important « front » de l’opposition, se présentant comme « défenseurs » de la démocratie.
L’élection du « général putschiste » au premier tour a surpris beaucoup d’observateurs de la scène politique mauritanienne, même si les équipes d’observation de l’élection envoyées par la communauté internationale à Nouakchott ont jugé l’élection « transparente et crédible ».
Trois des candidats défaits avaient introduit des recours au niveau de la Cour constitutionnelle pour rejeter la victoire d’Ould Abdel Aziz, mais sans succès.
Alors qu’une partie de l’opposition conteste encore sa victoire, l’accusant de fraude, l’ancien général qui a démissionné de l’armée (pour présenter sa candidature à la présidentielle) utilisant son nouveau titre de « président élu », a notamment rencontré les ambassadeurs saoudien, yéménite, irakien, accrédités à Nouakchott.
Parmi les ambassadeurs qu’Ould Abdel Aziz a reçus figurent aussi ceux du Qatar, du Soudan et de Libye ainsi qu’une délégation d’observateurs électoraux envoyés par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour suivre la présidentielle. .
Selon les analystes, ces audiences visent à obtenir une « reconnaissance internationale » et à isoler très vite de la scène internationale les opposants qui tentent de remettre en cause la légitimité du scrutin du 18 juillet.
Lors de cette élection, Ould Abdel Aziz, auteur du coup d’état militaire du 6 août 2008 qui a renversé le président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi (premier président démocratiquement élu de Mauritanie) faisait face à plusieurs candidats et à un important « front » de l’opposition, se présentant comme « défenseurs » de la démocratie.
L’élection du « général putschiste » au premier tour a surpris beaucoup d’observateurs de la scène politique mauritanienne, même si les équipes d’observation de l’élection envoyées par la communauté internationale à Nouakchott ont jugé l’élection « transparente et crédible ».
Trois des candidats défaits avaient introduit des recours au niveau de la Cour constitutionnelle pour rejeter la victoire d’Ould Abdel Aziz, mais sans succès.
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